Практикум ЕГЭ по французскому языку. Итоговый тест (Понимание письменных текстов)
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Задание 1
Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1. Les examens dans le monde 2. Les loisirs des écoliers 3. Faire l’école à la maison 4. Les devoirs à l’école 5. Ils ont beaucoup de leçons 6. Les disciplines scolaires 7. L’alimentation à l’école 8. Sur le trajet de l’école A. En France, il у а le plus souvent des services de bus scolaires qui permettent de rejoindre son école même si l'on vit dans une maison isolée. Mais cela n'existe pas partout dans le monde. Le réalisateur français Pascal Plisson а filmé le quotidien d'enfants qui vivent très loin de leur établissement scolaire dans un magnifique film «Sur le chemin de l'école». On у voit par exemple, Carlos,11 ans, qui vit en Amérique du Sud, et qui va en cours à cheval! Il parcourt18 km, ce qui lui prend une heure et demie chaque matin et chaque soir. B. Il s'appelle «Abitur» en Allemagne, «Senta» au Japon et «EGE» en Russie. Là-bas, on passe moins d'épreuves (mathématiques, russe, littérature et deux matières au choix). En Italie, le baccalauréat se tient, pour de nombreuses épreuves, à l’oral. Au Royaume-Uni, il porte sur seulement trois matières, selon l’université où l’on souhaite entrer. Aucune n'est imposée, c'est l’étudiant qui choisit. Cela peut même être l’art ou la danse! Donc, le baccalauréat que l’on passe à la fin de la scolarité а des équivalents à peu près partout. C. Il y a des incontournables, comme les mathématiques. Et des variantes: au Kenya, en Turquie ou en Thaïlande, on commence la journée par le chant de l’hymne national. Cela fait partie de l’éducation civique. Les écoles d’Irlande proposent des cours de religion, facultatifs. Il y a également des matières plus surprenantes. En Corée du Sud, par exemple, il y a «l’économie domestique». L’organisation du foyer, de l’hygiène à la cuisine est au programme du collège. Les élèves font aussi du taekwondo, un sport de combat très populaire. D. Au sein des pays riches, ce sont les Sud-Coréens, avec 220 jours par an à l’école primaire. En Europe, ce sont les Italiens et les Danois (200 jours), alors que les Français qui font la semaine de quatre jours sont ceux qui ont le moins de jours d’école. Pour les petits Danois, la rentrée des classes, c’était mi-août! Ils n’ont que quatre semaines de petites vacances dans l’année, et un mois et demi de l’été. Les élèves qui cumulent le plus de jours de cours ont, en contrepartie, des journées moins longues. E. En France, l’instruction est obligatoire. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut forcément la recevoir à l’école. On peut apprendre chez soi, avec ses parents ou avec des proches. Ils n'ont besoin d'aucune formation et sont libres de choisir leur méthode. Évidemment, il y a des contrôles. Des inspecteurs passent une fois par an évaluer le niveau de connaissances des enfants. S'il est jugé insuffisant, leurs parents doivent les inscrire à l'école. Des pays comme la Grèce ou l'Allemagne interdisent l'instruction à domicile. F. Alors qu'en France les élèves peuvent déjeuner dans une cantine, à l'étranger, cela dépend. Au Japon, les élèves mangent en classe un repas qui peut leur être apporté par une cantine centrale. Ou bien ils ouvrent leur petite boîte à compartiments (bento). Il est célèbre pour le soin qu'apportent les parents à confectionner des repas équilibrés: carottes taillées en forme de poissons, radis en étoiles. En Inde ou en Irlande, on peut déjeuner sur le pouce dans sa salle de classe ou dans la cour. En Finlande, certaines cantines sont gratuites. G. Les jeux de ballon, les billes ou l'élastique sont présents dans de nombreux pays. Puis il y а des jeux qui ressemblent à ceux que nous connaissons. C’est le cas du mala au Maroc qui se rapproche des billes. Il faut lancer un petit caillou et le rattraper avec la même main après en avoir ramassé un autre par terre. Un photographe kenyan a publié une série de 59 photos de cours de récréation à travers le monde. On у voit des élèves en toge rouge s'amuser avec des chiens au Bhoutan, ou des enfants jouant au cerceau au Royaume-Uni.
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Задание 2
Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1. L’eau est toxique pour la faune 2. L’eau de la mer monte 3. Les ours dans les zoos 4. Cet animal a du mal à se nourrir 5. L’homme nuit à la planète 6. Résoudre les problèmes écologiques 7. L’époque la plus chaude 8. Le climat fonctionne ainsi A. La Terre est située à environ 150 millions de kilomètres du Soleil, une distance idéale pour l’apparition de la vie. Chauffée par son étoile et protégée par son atmosphère, notre planète affiche une température moyenne de 15 °C. C’est un climat doux, ni trop chaud ni trop froid, qui évolue en principe très lentement, suivant l’activité du Soleil et l’orbite de la Terre autour de son astre. Depuis huit cent mille ans, le climat connaît une alternance de périodes chaudes et froides, qui se succèdent tous les cent mille ans. B. Jusqu’à présent, le climat terrestre ne dépendait que de causes naturelles. Mais, à partir de 1850, les humains se sont mis à utiliser de grandes quantités de charbon, de pétrole et de gaz pour développer l’industrie, les transports et le chauffage. En brûlant, ces énergies dites fossiles libèrent du dioxyde de carbone (CO2), un gaz qui absorbe l’énergie émise par le Soleil et la surface de la Terre, même en très faible quantité. De plus, nous rejetons beaucoup d’autres gaz, qui eux aussi dérèglent le climat. C. Depuis 1850, la température moyenne a augmenté de 0,85°C sur la Terre. La température varie d’une année à l’autre, mais sur le long terme, le réchauffement est une évidence: il fait aujourd’hui 1,2°C de plus en France que la moyenne enregistrée entre 1951 et 1980. Neuf des dix années les plus chaudes jamais observées appartiennent au 21e siècle. L’année 2018 est entrée dans le top 3 des années les plus chaudes en France (les neuf premiers mois, de janvier à septembre, étaient les plus chauds depuis 1900). D. Le niveau des océans a grimpé de 17 cm en un siècle. D’abord, parce que l’eau gonfle en se réchauffant. Ensuite, parce que les océans reçoivent en plus l’eau apportée par la fonte des glaciers et des sols gelés. Si le Grœnland perdait toute sa glace, l’océan monterait de 7 m! Et si c’était l’Antarctique entier qui fondait, ce serait encore pire: l’eau grimperait de 60 m! La France serait en grande partie noyée, et le premier étage de la tour Eiffel serait sous l’eau… Heureusement, cela n’arrivera pas avant des siècles. E. En se réchauffant, les océans absorbent de plus en plus de dioxyde de carbone. Ce gaz rend l’eau plus acide. Il diminue les quantités de carbonate présentes dans l’eau. Or, ce carbonate (ou calcaire) est un élément de base. Il compose le squelette (coquille) de nombreux animaux marins, comme les mollusques ou les coraux. Certains organismes n’arrivent plus à fabriquer leur coquille. Ce qui peut entraîner leur mort. Et beaucoup de larves de poissons meurent en raison de cette eau plus acide. F. Il faut réduire la quantité de gaz à effet de serre. Pour limiter le réchauffement à 1,5°C, il faudrait qu’on émette zéro gaz à effet de serre d’ici 2050. Et qu’on soit capable ensuite de nettoyer l’atmosphère! Cela veut dire abandonner le pétrole au profit des énergies comme le vent ou le soleil. On peut également utiliser l’énergie nucléaire. Mais elle pose de nombreux problèmes. Chacun doit faire des gestes simples. Par exemple, on peut baisser le chauffage à la maison. Ou laisser sa voiture au garage pour faire le trajet à pied! G. Chaque été, les banquises polaires fondent en partie, avant de se reformer l’hiver. Dans l’océan Arctique, la surface de banquise en septembre a diminué de moitié depuis 1981. Ce sont ainsi 3,3 millions de km2 qui ont disparu, soit six fois la France! Ce phénomène menace la survie de tout un écosystème. De nombreuses espèces de la région, comme l’ours blanc, risquent de mourir de faim. L’ours dépend de la banquise pour se nourrir. Il chasse le phoque dans des trous sur la banquise.
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Задание 3
Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1. Ils n’écrivent pas que des livres… 2. Elle découvre une chambre secrète 3. Les passagers devront patienter 4. Le portrait du plus vieux «Britannique» 5. Les archéologues trouvent une pyramide 6. Un animal ancien, géant et dangereux 7. Les traces des villes anciennes 8. Un «musée» fermé aux visiteurs A. Il vivait il y a environ 85 millions d’années. Un dinosaure d’une nouvelle espèce, nommée Tratayenia rosalesi, a été décrit par des scientifiques. Ils ont étudié des os de cet animal, trouvés à Tratayen, en Argentine. L’animal mesurait 9 m de long (environ la longueur d’un camion) et était très féroce: il mangeait même d’autres dinos! Ce dinosaure possédait des dents très pointues, idéales pour déchirer la viande. La «famille» dont il fait partie est encore très peu connue des scientifiques: cette découverte permettra d’en savoir un peu plus. B. Les archéologues ont découvert à Rome, à une dizaine de mètres de profondeur, une maison de 50 m2, richement décorée de fresques et meublée. Alors on n’y a pas retrouvé des meubles entiers mais des pieds de tables et de chaises, de la vaisselle, un plafond. C’est cela qui est exceptionnel: le plafond de bois, même effondré, est en assez bon état. Une merveille qui fait le bonheur des spécialistes mais le malheur des ingénieurs de Rome parce que cette découverte se trouve sur le tracé de la future ligne C du métro romain. C. Un agent de sécurité a fait une découverte surprenante dans le château de Chambord. Un graffiti se trouvait sous une fenêtre du monument. Il a peut-être été fait par ... Jean de La Fontaine! Des spécialistes vont comparer le graffiti avec l’écriture de Jean de La Fontaine, pour le vérifier. Ils savent que le poète est allé dans la ville de Chambord, mais ils ne savent pas s’il s’est rendu au château. Ce n’est pas la première fois que de célèbres auteurs laissent des traces sur les murs du château de Chambord (Victor Hugo, par exemple). D. Presque personne n’était entré dans cette pièce depuis 80 ans! Elle était oubliée de la plupart des agents du métro et fermée à clé... Mais Virginie Osset, une employée, y a découvert... un abri où on se cachait pendant les bombardements durant la Seconde Guerre mondiale! Le mobilier était en très bon état. Selon Virginie Osset, il y avait des bancs, des panneaux d’instructions... Et même un vélo spécial: les employés pédalaient pour produire de l’électricité et renouveler l’air de la pièce quand ils s’y cachaient! À côté, un petit local servait de chambre d’hôpital. E. Des scientifiques étudient en ce moment la grotte Cosquer, couverte de peintures préhistoriques, à Marseille. Son entrée se trouve dans l’eau et elle est interdite au public. Elle est cachée à 37 mètres de profondeur dans la mer Méditerranée. Ce n’était pas comme cela à la préhistoire: elle se situait sous terre. Mais le niveau de l’eau est monté après la fin de la dernière période glaciaire (il y a 10000 ans). La grotte a été en partie remplie d’eau. Un plongeur, Henri Cosquer, a déclaré sa découverte en 1991. La grotte a pris son nom. F. Dans les années 1960-1980, les archéologues russes de l’Oural ont découvert plusieurs colonies datant d’environ 2000 ans avant Jésus-Christ, connues aujourd’hui sous le nom de «Pays des villes». La région couvre près de 350 km2 et compte des dizaines de colonies. La plus jeune des villes a 3700 ans, soit environ 1000 ans de plus que la construction des pyramides de Gizeh. Les colonies sont remarquables grâce à leur conception avancée: il y a des trottoirs, des barrages et des canaux. La plupart des villes doivent encore être étudiées par des archéologues. G. Il est surnommé Cheddar Man, du nom d’un village (et d’un fromage) anglais! Le plus vieux squelette d’Homo sapiens découvert au Royaume-Uni a été réétudié récemment par des experts. Ils affirment que cet homme, qui a vécu dans le sud du pays il y a 10000 ans, avait la peau noire, les cheveux foncés et bouclés, et les yeux bleus! 2 artistes ont réalisé un buste à partir de ces informations. Il a été présenté il y a quelques jours. Cheddar Man était un chasseur-cueilleur. Il mesurait environ 1,65 m et est mort avant ses 30 ans, pour une raison encore inconnue.
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Задание 4
Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1. Bâtir une maison rapidement 2. On pourra dormir sous l’eau 3. Visiter un restaurant spatial 4. Voyager sans quitter sa maison 5. Un appareil prépare des plats 6. Acheter un vélo personnalisé 7. Voyager vers d’autres planètes 8. Communiquer sans problème A. Dans le futur, ton menu sera complètement à la carte. Tu pourras choisir la forme, la couleur et le goût de ce que tu désires manger. Ton repas te sera servi en quelques secondes. Et cela grâce à une imprimante alimentaire. Surtout, elle tiendra compte de tes préférences. Par exemple, si tu suis un régime particulier pour des raisons de santé. Ou si tu ne souhaites pas manger certains ingrédients. La machine adaptera la préparation. Une entreprise au Japon travaille déjà sur cette idée. Elle fabrique des sushis personnalisés. B. Des architectes travaillent en ce moment sur une idée folle. Ils veulent créer des hôtels sous-marins. Cela permettra d’observer les poissons depuis sa chambre. Ou même de plonger quand on le voudra durant son séjour. Pour pouvoir rester immergé, un bâtiment doit résister à la pression exercée par l’eau. Les murs des hôtels sous-marins subissent eux aussi cette force qui appuie sur eux. Pour éviter qu’ils s’effondrent, il faut donc renforcer leur structure avec du béton. Et ne pas s’éloigner trop de la surface! C. En 2050, il est probable qu’on assistera à des vols suborbitaux. Ils permettront aux touristes motivés de voir la Terre d’en haut puis de redescendre. Dans ce cas, tu partiras dans une navette qui décollera d’une sorte de port spatial. Comme le voyage durera quelques minutes, tu n’auras pas besoin d’emporter grand-chose ni de te préparer… En revanche, si tu optes pour un trajet plus lointain en orbite, attention à bien choisir ta destination. Quant aux voyages vers la Lune ou Mars, ce sont des scénarios encore très peu sûrs. D. Demain, ta tente de voyage ou le gîte dans lequel tu poseras tes valises pourront être édifiés à la demande. Tu arriveras sur ton lieu de vacances et tu demanderas si tu peux avoir un abri avec trois pièces, quatre fenêtres et un store. Une imprimante 3D créera alors ton logement sur mesure, et ce en quelques minutes! Le grand luxe sera même de partir sans bagages et d’imprimer sur place tout ce dont tu auras besoin: casquette, trousse de toilette, chaussures de randonnée… Aujourd’hui, les imprimantes 3D existent déjà. E. En 2050, ils existeront toujours. Beaucoup auront des moteurs électriques et des capteurs. Ils t’aideront notamment à grimper les côtes très raides! Autre nouveauté attendue: le côté sur mesure. Imagine un peu, tu pourras avoir un vélo avec exactement la forme, le poids et la couleur que tu souhaites. Et cela grâce à des techniques de fabrication en impression 3D. Les ingénieurs du fabricant Decathlon sont déjà en train de se pencher sur cette question. Du coup, il y en aura pour tous les goûts! F. Pour s’amuser durant les vacances, il ne sera pas forcément nécessaire de s’envoler très loin. Avec quelques objets et équipements numériques bien choisis, tu pourras voyager… dans ta tête et avoir l’impression d’être parti(e) pour de bon, ou presque! Par exemple, si tu te lances dans une mission virtuelle en Australie, tu verras le paysage en 3D défiler devant toi. Tu sentiras le souffle du vent. Tu percevras les vibrations du sol sur lequel tu marches. Tu sentiras même l’odeur du kangourou que tu croises! G. Quand tu joueras en réseau chez toi ou que tu tchatteras avec un copain étranger, pas de problème pour discuter même si tu ne parles pas sa langue… Pas besoin non plus de chercher une traduction sur ton téléphone. Ou d’utiliser des oreillettes spéciales comme il commence à en exister. Avec ta montre, tu piloteras une enceinte à distance. Elle t’enverra dans les oreilles l’information traduite dont tu auras besoin! Donc, tu pourras te faire des amis plus facilement. Une entreprise française travaille actuellement sur un tel projet.
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Задание 5
Установите соответствие между текстами A–G и заголовками 1–8. Занесите свои ответы в таблицу. Используйте каждую цифру только один раз. В задании один заголовок лишний. 1.Ces jeunes qui aident les autres 2.Ils réussissent mieux l’école 3.Apprendre en protégeant la plante 4.Ils rencontrent ce cinéaste célèbre 5.Ces élèves qui font du cinéma ensemble 6.On apprend mieux en compétition 7.Un film sur la Journée de nettoyage 8.Un enfant extrêmement intelligent A. Au collège Vauban, il n’y a pas de magie. Mais il existe des «maisons», comme dans la saga sur Harry Potter ! Ce système fonctionne depuis 1 an. Il y a 8 maisons de 50-60 élèves chacune. Toute l’année, les maisons proposent des projets : concours sportifs, actions écologiques. Et la concurrence est très forte ! Quand une maison termine un projet, elle gagne 100 points. Les professeurs du collège donnent des points aux adolescents qui réalisent de bonnes actions. Toutes les 6 semaines, on affiche le total des points de chaque maison. B. Le monde du 7e art n’a plus de secrets pour eux ! Depuis 6 mois, une trentaine d’écoliers de 10 ans environ réalisent un film court avec leur école, à Paris. Écriture, maquillage, costumes... ils ont tout fait, du début à la fin, avec l’aide d’une réalisatrice. Avant de commencer leur projet, les enfants ont découvert des métiers différents (acteur, réalisateur...). Puis, ils ont écrit le scénario de leur film et ont commencé sa réalisation. Leur court-métrage sera projeté dans leur école et dans des salles. C. Est-ce possible de donner un coup de main aux autres même quand on est un enfant ? «Oui !», ont répondu les élèves de l’école Jeanne-d’Arc, à Paris. Ils ont participé au projet de l’École de l’amitié. «On a choisi le thème de la santé, explique un élève. On a rencontré une association qui soutient les enfants en difficulté. On a organisé une collecte de vêtements et de jouets dans l’école, puis on les a donnés à l’association». Un autre élève ajoute: «Je me suis senti utile». L’an dernier, 2 000 classes ont participé au projet. D. Comment expliquer les bonnes notes des enfants de professeurs ? Il y a plusieurs raisons. Tout d’abord, les parents professeurs rapportent beaucoup de travail la maison (copies corriger, cours préparer). Voir ses parents travailler motive un enfant à travailler lui-même. Les parents professeurs ne disent pas simplement «fais tes devoirs». Ils montrent l’exemple. Les parents professeurs ne divisent pas le temps en 2 : le temps scolaire pour étudier, et le temps pour se divertir. Selon eux, il est possible de s’amuser à l’école et de continuer d'apprendre à la maison. E. Plus de 300 écoles participent à la Journée de grand nettoyage. C’est l’occasion de ramasser les poubelles qui se trouvent à côté des écoles. Antoine, professeur d’une école primaire à Pau, va le faire avec ses élèves. Il explique : «On a appris à identifier les différents déchets. Les élèves travaillent par petites équipes. Ils collectent les déchets dans un sac plastique. On tente de définir quel type d’ordures nous avons le plus ramassées. Ensuite, on fait un travail d’écriture. On crée des affiches pour rendre les habitants de la ville attentifs à l’environnement». F. Beaucoup de personnes disent que Laurent Simon, 9 ans, est un «génie». Dans 2 mois, ce jeune Belge va obtenir un diplôme d’ingénieur à l’université ! Jusqu’à présent, le record du monde était détenu par un Américain. Il a eu son diplôme de l’université à l’âge de 10 ans. Laurent étudie à l’université technologique aux Pays-Bas, depuis qu’il a eu l’année dernière son baccalauréat. Laurent a une mémoire exceptionnelle, selon ses professeurs. Son père dit qu’il faut trouver un équilibre entre son enfance et ses talents. G. L’école d’Allouis a choisi de s’appeler Nicolas Vanier. C’est le nom de l’auteur du film «Donne-moi des ailes». À cette occasion, l’explorateur et réalisateur est venu dans ce village de 1 100 habitants. Dès son arrivée, les enfants, impatients, se sont installés par terre devant lui. Ils le regardaient avec respect et admiration. Le maire a pris la parole : «Votre vie est un bel exemple pour eux. Comme vous l’écrivez, “il vaut mieux vivre ses rêves que rêver sa vie”». Pendant plus de 30 ans, Nicolas Vanier a voyagé dans le Nord, malgré le froid. Et maintenant, il fait des films !
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Задание 6
Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. Le confinement en Nouvelle-Zélande Avec mes parents, mes frères et ma sœur, nous avions prévu de faire un grand voyage pour découvrir de nouvelles cultures. Nous avons commencé par la Nouvelle-Zélande. Au début, on croyait que le Covid-19 ne viendrait pas jusqu’à nous! Et puis un jour, sur la plage, A__________ qu'on serait en confinement pour 4 semaines! Nous avons visité l’île du Sud en camping-car, puis nous sommes allés sur l’île du Nord. Nous avons rencontré Reagan dans des bains d’eau chaude. Régulièrement, nous avons échangé avec lui B__________ et lui son français. Après la levée des mesures de confinement, on pensait pouvoir aller en Asie, puis en Australie. Mais c’est la Turquie C__________. Malheureusement, 2 jours avant de quitter la Nouvelle-Zélande, on a appris que notre vol était annulé. Après deux jours, on a réussi à trouver un vol. Nous avons été très soulagés une fois l’avion dans les airs… Après 46 heures de voyage, nous sommes arrivés à Istanbul. Là, nous avons loué une voiture pour D__________. Nous sommes restés un peu plus de 5 semaines, et nous avons repris l’avion pour la France le 15 août. Je n’avais envie de quitter ni la Nouvelle-Zélande ni la Turquie, même si une partie de moi voulait revenir en France. Ce qui m’a le plus marqué dans ce voyage, E__________. On nous offrait toujours des choses comme du thé ou des fruits. Une autre chose qui m’a marqué, c’est le nombre de catastrophes naturelles qui F__________. À part cela, tout au long de ces 6 mois, j’ai attendu avec impatience de retrouver la nourriture française! 1. parcourir la moitié ouest du pays 2. pour travailler notre anglais 3. qui a été l’un des rares pays à s’ouvrir 4. parce que je voulais manger des fruits 5. ma mère est venue nous annoncer 6. peuvent se produire en Nouvelle-Zélande 7. c’est la gentillesse des gens en Turquie
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Задание 7
Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. La voiture de demain se déplacera-t-elle toute seule? Le grand salon automobile de Detroit, aux États-Unis a permis aux constructeurs de présenter leurs nouveaux modèles intelligents, capables de faire de plus en plus de choses sans l’intervention d’un conducteur. Les voitures sont devenues des bijoux d'électronique et d'informatique, connectées à Internet A__________des conducteurs et améliorer la sécurité. La voiture est stationnée un peu loin de la maison? Le constructeur Tesla a inventé une application pour smartphone B__________ de rejoindre le conducteur. Toute seule, la voiture démarre, commande l'ouverture et la fermeture du garage, et retrouve le conducteur là C__________. Plusieurs modèles de voiture proposent déjà un système automatique pour se garer. Les constructeurs préparent maintenant des voitures D__________. Grâce à de nombreux capteurs, caméras, radars et GPS, les ordinateurs de bord de ces voitures calculent en permanence tout ce E__________du véhicule: ils ajustent alors la vitesse, si la voiture devant ralentit, et peuvent freiner en urgence. Grâce aux nouvelles technologies, la voiture de demain sera plus confortable à conduire, mais surtout beaucoup plus sûre. La voiture intelligente, F__________, est capable de respecter toute seule les limitations de vitesse. Elle n’est jamais fatiguée, n'a pas de problèmes de distraction ni d'alcool … Cette voiture high-tech permettra sans doute d'éviter bien des accidents. 1. où il est 2. qui se passe autour 3. pour faciliter la vie 4. qui conduiront seules 5. sur laquelle travaillent les constructeurs 6. qui ordonne à la voiture 7. pour conduire cette voiture
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Задание 8
Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. Une promenade au fil de l’eau à Saint-Pétersbourg On qualifie Saint-Pétersbourg de la Venise du Nord pour une bonne raison: la ville est pleine de canaux et de rivières. Explorer la ville en bateau est une excellente façon A__________ tout en étant tranquillement assis pendant que le paysage défile. La ville apparaît devant vous en vous montrant des hôtels particuliers somptueux qui datent du temps de la noblesse de la ville, de beaux quais de granit, des ponts B__________ pour un certain temps. De jour comme de nuit, Saint-Pétersbourg en bateau est une promenade féérique. La Neva est omniprésente à Saint-Pétersbourg et le vent qui y pénètre rappelle sans cesse C__________ pas loin. À une bonne trentaine de minutes de bateau, le long de l’embouchure de la Neva, la balade permet de découvrir l’immensité de cette ville en plein développement et son port impressionnant, ainsi que le palais baroque de Peterhof, ancienne résidence de Pierre le Grand D__________ au début du XVIIIème siècle. Brillant dans ses couleurs blanches et jaunes, le palais vaut le déplacement, surtout en été. On est ébloui par la géométrie des jardins, les 64 jets d’eau E__________ et la grande cascade de 16 mètres de haut. Elle se trouve devant le palais avec ses statues dorées F__________ encore plus éblouissantes! En se promenant dans les allées des jardins d’été, on imagine facilement une splendeur passée de fêtes, de bals et de réceptions fastueuses et grandioses. 1. que les gouttes d’eau rendent 2. qui s’ouvrent pendant la nuit 3. qui composent les fontaines 4. que la mer Baltique est située 5. de marcher le long des quais 6. dont la construction remonte 7. d’admirer la beauté de la ville
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Задание 9
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 13. Quel problème a rencontré l’entreprise après la création du robot? On ne savait pas comment … 1) fermer les filiales. 2) réduire le nombre d’employés. 3) employer le robot d’une manière efficace. 4) remplacer le directeur de l’entreprise.
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Задание 10
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 14.Tout d’abord, le robot a rempli les fonction de ... 1)secrétaire général. 2)directeur de l’entreprise. 3)comptable en chef. 4)employé peu qualifié.
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Задание 11
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 18. Comment l’administration de l’entreprise a-t-elle réagi à la disparition du robot? 1) Elle s’en est préoccupée. 2) Elle est restée indifférente. 3) Elle a été satisfaite. 4) Elle est devenue joyeuse.
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Задание 12
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 16. Que le robot ne faisait-il pas en tant que délégué? 1) Aller en mission. 2) Assurer la communication entre les filiales. 3) Diriger les filiales de l’entreprise. 4) Dresser des bilans d’activités.
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Задание 13
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 15.En éloignant le robot de l’entreprise, le comité cherchait à protéger ... 1) les délégués. 2) le directeur. 3) le robot. 4) les autres employés.
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Задание 14
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 17. L’entreprise a perdu le contact avec le robot parce qu’il ... 1) était mort. 2) avait trouvé sa passion. 3) s’était perdu. 4) avait perdu l’adresse de l’entreprise.
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Задание 15
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 12.Le robot était ... 1) très beau. 2) ordinaire. 3) d’apparence exotique. 4) très laid.
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Задание 16
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 12. Ahmed, quel âge avait-il? 1) Deux ans. 2) Quatre ans 3) Trois ans. 4) Cinq ans.
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Задание 17
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 14. Ahmed, pourquoi n’est-il pas allé dans les bois? 1) Il avait peur des loups. 2) Il avait peur de tomber dans une flaque d’eau. 3) Il avait peur de se perdre. 4) Il avait peur de rencontrer des gens méchants.
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Задание 18
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 13. Comment est-il sorti de la maison? Il est sorti par ... 1) la porte qui n’était pas fermée. 2) la porte de la cuisine. 3) la porte du garage. 4) la fenêtre ouverte.
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Задание 19
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 18. Ahmed, pourquoi n’est-il pas revenu tout seul? 1) Il a perdu le chemin. 2) Il voulait que l’on le cherche. 3) Il voulait voyager. 4) Il avait peur d’être puni.
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Задание 20
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 16. Ahmed, où se dirigeait-il? 1) Chez son copain de classe. 2) Chez son instituteur. 3) Chez sa grand-mère. 4) Chez sa tante.
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Задание 21
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 17. Ahmed, avait avec lui un petit... 1) Un lapin en peluche. 2) Un ourson en peluche. 3) Un chat en peluche. 4) Un chien en peluche.
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Задание 22
Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 15. Où a-t-on retrouvé Ahmed? 1) Sur la route. 2) Au bord de la rivière. 3) Dans un placard. 4) Dans les bois.
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Задание 23
Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. C’est quoi, la musique électro? La musique électro ou électronique est née aux États-Unis dans les années 1980. Les instruments A__________ électro, ne sont pas traditionnels. Les musiciens doivent créer de nouveaux sons ou refaire des sons qui existent déjà. Pour ce faire, les musiciens ont des synthétiseurs B __________ de musique. Pour créer de la musique électro, il ne faut pas nécessairement être capable de jouer d’un instrument traditionnel. En revanche, il faut connaître un peu l’informatique. Il y a des logiciels C__________ des sons ensemble. Cela crée des musiques très rythmées, qui donnent envie de danser à tout le monde. On dit même parfois que c’est de la musique «boum-boum», comme les battements du cœur! Ce qui est bien, c’est D__________ d’un instrument et qu’on peut composer de la musique électro chez soi. Les musiciens qui font de la musique électronique s’appellent des DJ, des disc-jockeys. Parmi les DJ les plus connus, il y a, par exemple, ceux E__________ et ressemblent à des robots. On remarque aussi qu’il y a de plus en plus de filles… On peut écouter de la musique électro sur Internet ou en discothèque. On peut aller aussi à des concerts F__________ étranges et des lumières de toutes les couleurs. Parfois il y a même des feux d’artifice! 1. qu’on n’a pas besoin de savoir jouer 2. dans lesquels il y a souvent des décors 3. dont on se sert pour faire de la musique 4. qui portent des costumes étonnants 5. qui peuvent remplacer des instruments 6. qu’on doit avoir une bonne maitrise 7. grâce auxquels les musiciens mixent
