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Практикум ЕГЭ по французскому языку. Задания № 12-18

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Задание 1

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 12. Courgette, que veut-il savoir avant son anniversaire? Il veut savoir ... 1) qui sera invité à sa fête. 2) quel repas sera servi. 3) où on organisera la fête. 4) quel cadeau on lui offrira.

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Задание 2

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 14. Samedi les enfants de l’orphelinat doivent aller ... 1) au cirque. 2) au cinéma. 3) au musée. 4) au zoo.

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Задание 3

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 15. Courgette et Camille doivent aller fêter l’anniversaire du garçon ... 1) dans la maison de Raymond. 2) au restaurant. 3) à la campagne. 4) à Paris.

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Задание 4

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 13. L’anniversaire de Courgette, sur quel jour de la semaine tombe-t-il? 1) Dimanche. 2) Samedi. 3) Lundi. 4) Mardi.

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Задание 5

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 18. Courgette, pourquoi était –il bouleversé? 1) Tout le monde est venu fêter son anniversaire. 2) Il a vu ses parents. 3) Il a mangé un gros gâteau. 4) Il a beaucoup chanté.

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Задание 6

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Задание 7

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’anniversaire de Courgette Après la mort de sa mère, le petit garçon Icare, surnommé Courgette, vit dans un orphelinat. Je compte sur mes doigts les jours qui me séparent de mes dix ans. Ça tombe samedi et ma meilleure amie Camille et moi on sera chez Raymond, le gendarme, dans sa maison. Je surveille Camille qui fait la mystérieuse, surtout depuis qu'elle est descendue au village avec notre éducatrice Charlotte. Et moi je fais l'andouille «c'est quoi mon cadeau?» et Camille me regarde comme si j'étais muet «viens, on va à la balançoire». J'essaye avec Charlotte qui me dit «je ne vois pas de quoi tu parles». Même Simon à qui j'ai tout raconté me dit: – C'est samedi ton anniversaire? Samedi personne ne sera là. Nous on va à Paris pour voir des squelettes au musée. Samedi, ça y est, j'ai dix ans et je suis déçu. Personne ne m'en parle, ni Simon, ni Ahmed, ni Rosy, ni même Camille et j'en aurais pleuré si Ferdinand le cuisinier ne m'avait pas chuchoté à l'oreille: «Il paraît que c'est ton anniversaire aujourd'hui. Tiens, c’est pour toi, mais tu dis rien à personne». Et il sort un tout petit gâteau au chocolat en forme de cœur que j'avale tout rond. – Et pourquoi je dois rien dire? je dis. – Tu verras bien. À lundi, Courgette. Et Ferdinand le cuisinier m'embrasse et il part dans sa camionnette. Puis le car se remplit de copains et je les regarde partir eux aussi avec envie. Les squelettes, ça doit être super. Je trouve curieux que tous les éducateurs montent dans le bus, surtout Rosy qui, d'habitude, le samedi, se repose dans sa chambre. Normalement quand on visite un parc ou une forêt ou un musée, il n'y a qu'un seul éducateur pour nous accompagner. Camille est moi, nous attendons Raymond. Je commence à croire que le gendarme nous a oubliés, quand la voiture à pompon bleu écrase les petits cailloux. Devant la maison à Raymond, Camille me dit de fermer les yeux. – Pourquoi? je demande. Et je ferme les yeux. C'est difficile de résister à Camille. – Tu verras bien. Je vais te mettre un chiffon sur les yeux, là, comme ça. Tu n'auras qu'à prendre ma main et je te dirai où marcher pour ne pas tomber. Je descends de la voiture aidé par Camille. – Stop! Attention, tu as quelques marches à grimper. Et je lève les pieds pour entrer dans la maison et je la traverse lentement. Je me cogne quand même contre un meuble. Et plus j'avance, plus j'entends des chuchotements et des rires. – T'y es presque. Un pas de plus ... Stop! Voilà, tu peux retirer le chiffon. Et puis j'ouvre mes yeux et je les referme aussitôt. Je suis tout retourné et je ne peux pas empêcher mes larmes de sortir. Camille me lâche la main et je suis tout seul devant mon cadeau et c'est le plus beau cadeau de toute ma vie. Je serre mes poings et j'essuie mes yeux avec et je les regarde pour de bon et aussitôt ils chantent tous «Joyeux anniversaire, Courgette!». Ils sont tous là. Même Ferdinand le cuisinier. Même le juge avec la directrice. Même les instituteurs de l’école. Et tous mes copains et les éducateurs qui ne sont jamais partis voir les squelettes. Et Raymond qui disparaît derrière un gâteau comme je n’en ai jamais vu. C'est le plus gros cœur en chocolat qui donne envie de mordre dedans. Et ce n'est pas tout. Y a plein de paquets avec des tas de rubans et de ballons autour, et je vois les ballons s'envoler et j'ai l'impression que, moi aussi, je vais m'envoler. D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 16. Quelle était la profession de Raymond? 1) Il était juge. 2) Il était cuisinier. 3) Il était éducateur. 4) Il était gendarme.

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Задание 8

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 17. Ahmed, avait avec lui un petit... 1) Un lapin en peluche. 2) Un ourson en peluche. 3) Un chat en peluche. 4) Un chien en peluche.

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Задание 9

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 13. Comment est-il sorti de la maison? Il est sorti par ... 1) la porte qui n’était pas fermée. 2) la porte de la cuisine. 3) la porte du garage. 4) la fenêtre ouverte.

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Задание 10

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 15. Où a-t-on retrouvé Ahmed? 1) Sur la route. 2) Au bord de la rivière. 3) Dans un placard. 4) Dans les bois.

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Задание 11

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 16. Ahmed, où se dirigeait-il? 1) Chez son copain de classe. 2) Chez son instituteur. 3) Chez sa grand-mère. 4) Chez sa tante.

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Задание 12

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 14. Ahmed, pourquoi n’est-il pas allé dans les bois? 1) Il avait peur des loups. 2) Il avait peur de tomber dans une flaque d’eau. 3) Il avait peur de se perdre. 4) Il avait peur de rencontrer des gens méchants.

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Задание 13

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 12. Ahmed, quel âge avait-il? 1) Deux ans. 2) Quatre ans 3) Trois ans. 4) Cinq ans.

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Задание 14

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les recherches Une nuit, les garçons de l’orphelinat «Les Fontaines» découvrent que leur petit copain Ahmed, âgé de trois ans, a disparu. Ils réveillent leurs deux éducatrices, Charlotte et Rosy … On ouvre toutes les portes, tous les placards et il y n’a personne. – Ce n’est pas possible, dit Rosy Où il a pu aller ce petit? Mais comment il a pu sortir, la porte est toujours fermée a clé. – Là, je dis en montrant la fenêtre grande ouverte et on se précipite dehors. – Mon Dieu, gémit Rosy. Si Ahmed est parti dans les bois, il va falloir prévenir la police. – Ça m'étonnerait, je dis. Il a toujours peur de tomber dans une flaque d'eau ou que les branches des arbres se referment sur lui à cause du film. – Quel film? demande Charlotte. – Oh! c'est juste un truc qu'on a regardé un lundi en se trompant de bouton sur la télécommande. – C'est bien la peine que je vous laisse tout seuls avec les dessins animés, ça m'apprendra. Ah! Je vois quelque chose, là, au bord de l'eau! Dépêchons-nous. Mais Rosy se trompe. C'est juste une grosse bûche, on ne retrouve pas Ahmed. – Il n’a pas pu se promener près de l'eau, dit Simon. Il en a trop peur. À mon avis, il est sur la route. Et nous voilà sur la route toute noire avec la torche à Charlotte qui éclaire à peine nos pieds. Au moins, au bord de l'eau, la lune nous servait de torche mais là c'est «noir de chez noir» comme dit Simon. – On ne va pas le retrouver, gémit Rosy. On ferait mieux de rentrer et d'appeler la police. On perd du temps. C'est dangereux de marcher ici avec les voitures qui ne vont pas nous voir. – Attention! crie Charlotte. Une voiture! Les enfants, mettez-vous sur le côté. La voiture nous passe devant et Simon crie «Là-bas, regardez, les phares éclairent Ahmed». Et c'est bien Ahmed en pyjama avec son lapin en peluche à la main. Comme il ne nous a ni vus ni entendus, et qu'il marche lentement, on le rattrape assez vite. Il se retourne au dernier moment et il essaye de courir, mais Charlotte est plus rapide et elle le soulève d’un rien. Ahmed se débat et le lapin lui échappe des mains. – Tiens, dit Simon qui vient de ramasser le lapin. On retourne aux Fontaines dans la nuit et le silence. On entend juste pleurnicher Ahmed qui a peur d'être puni. – Non, mon chou, dit Rosy, personne ne va te punir, mais il ne faut plus partir comme ça la nuit. N'importe quoi aurait pu t'arriver si nous ne t'avions pas retrouvé, j'en suis toute retournée. – Je ne voulais pas que tu t'inquiètes, sanglote Ahmed. J'ai même failli revenir et je me suis assis sur la route pour réfléchir et j'avais peur d'être puni alors je suis reparti. – Et tu n'avais pas la moindre idée où aller? - demande Charlotte. – Si, je voulais retrouver l'instituteur. Il est très gentil avec moi, monsieur Paul. – Et tu sais où il habite? demande Charlotte. – Oui, je suis déjà allé chez lui. J'aurais attendu le jour et j'aurais demandé à une voiture de m'emmener chez monsieur Paul. Simon dit: «Je ne suis pas sûr que le lapin soit d'accord pour que tu essayes encore une fois de t'en aller sur les routes». – Tu crois? demande Ahmed. En tout cas, il n’a rien dit. – Évidemment qu'il n’a rien dit, ça ne parle pas les peluches. Mais ça se voit dans ses yeux qu’il n’est pas content, le lapin. Rosy sort ses clés et nous fait passer devant elle. Charlotte allume la lumière du hall. Ahmed serre son lapin contre lui. Rosy et Charlotte nous raccompagnent dans la chambre. Je tends le bras pour éteindre la lumière quand Ahmed dit: – Eh, Rosy, tu me chantes «Le Grand Manteau Rouge»? D’après Gilles Paris «Autobiographie d’une Courgette» 18. Ahmed, pourquoi n’est-il pas revenu tout seul? 1) Il a perdu le chemin. 2) Il voulait que l’on le cherche. 3) Il voulait voyager. 4) Il avait peur d’être puni.

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Задание 15

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» … 18. La grand-mère a appris à sa petite-fille à ... 1) broder. 2) coudre. 3) tricoter. 4) cuisiner.

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Задание 16

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» 12. Quel était le titre aristocratique des grands-parents de l’auteur? Ils étaient … 1) comtes. 2) princes. 3) barons. 4) vicomtes.

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Задание 17

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» … 13. Les grands-parents, quel prénom ont-ils choisi à leur petite-fille? Ils l’ont nommée ... 1) Céphise. 2) Victoire. 3) Marie-Antoinette. 4) Nicole.

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Задание 18

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» … 16. Quelle était la punition à ceux qui étaient en retard? 1) Ils étaient privés de déjeuner. 2) Ils étaient enfermés au sous-sol. 3) Ils étaient privés de dessert. 4) Ils étaient enfermés dans leurs chambres.

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Задание 19

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» 14. Dans la famille on ne prononçait jamais le nom de Philippe d’Orléans parce qu’... 1) il n’appartenait pas à la famille. 2) il avait refusé de se marier avec une des cousines. 3) il avait ruiné la famille. 4) il avait voté la mort de son cousin.

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Задание 20

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» … 17. Qu’est-ce qui était interdit dans la famille à l’enfant avant ses dix ans? Il ne pouvait pas ... 1) parler à table. 2) manger avec des adultes. 3) mettre les coudes sur la table. 4) laisser la nourriture dans son assiette.

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Задание 21

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного вами варианта ответа. Mes Grands-parents Mes grands-parents maternels, Monsieur le Baron et Madame la Baronne, étaient stupéfaits mais ravis de me voir arriver. – Est-elle baptisée? a demandé ma grand-mère immédiatement. La femme du sous-lieutenant qui m’accompagnait ne le savait pas. – Quel est son prénom? a demandé mon grand- père. La femme du sous-lieutenant a hésité: – Euh ... je ne me rappelle plus si c'est Céphise ... ou Victoire. –Je sais que Céphise est le nom traditionnel de la fille aînée chez les Buron, dans la famille de son père, a dit Grand-père à Grand- mère. – Je n'aime pas du tout Céphise, s'est exclamée Grand-mère. Ce sera Victoire. – D'accord, a approuvé Grand-père. Grand-mère s’est chargée de mon éducation. Elle en avait une idée assez sévère datant d'avant la Révolution française. Grand-père, lui, s'est occupé de ma formation politique. C'était un grand royaliste. Il lisait «Le Temps» tous les matins, refusait de présider les commissions agricoles républicaines, ne votait jamais, m'a interdit plus tard (parfois à mon grand désespoir) de recevoir d'«affreuses petites bourgeoises descendantes de ceux qui avaient guillotiné notre cher roi Louis XVI et notre pauvre reine Marie-Antoinette». Le nom de Philippe d'Orléans – qui avait voté la mort de son cousin – ne devait jamais être prononcé à la maison. Par contre, étant «bien née» (c'était l'une des expressions favorites de mon grand-père), j'avais le droit de jouer avec tous les enfants du peuple – à condition, bien entendu, de leur donner le bon exemple. La vie au château de Villeserres qui appartenait à mon Grand-père était réglée par une cloche. La première cloche indiquait que je devais me laver les mains, me peigner, éventuellement me changer. Quand la deuxième cloche sonnait, toute la famille devait être dans le petit salon de Grand-mère donnant sur la grande salle à manger. Grand-père était extrêmement pointilleux sur les horaires des repas. Il arrivait souvent, l'été, que mes cousins, embarqués dans une passionnante partie de tennis ou une promenade en barque sur la rivière, surgissent haletants mais en retard sur la deuxième cloche. «Privés de déjeuner! Cela vous apprendra à être à l’heure!» s'exclamait alors notre Grand-père, les bras croisés, debout devant la porte fermée de la salle à manger. Ce qu'il ignorait, c'est que lesdits cousins descendaient alors sur la pointe des pieds au sous-sol où Louise – qui les avait tous vus naître- leur servait dans la cuisine un confortable repas. Naturellement, je n'avais pas le droit de parler à table jusqu'à l'âge de dix ans. Et quand je vois maintenant mes propres petits-enfants me couper la parole et me raconter, la bouche pleine, ce qu'ils ont vu à la télévision, je reste stupéfaite. Tous les soirs je descendais dans le petit salon de Grand- mère, déjà installée sur son divan recouvert d'un tissu anglais à fleurs, et qui m'attendait. C'était l'heure sacrée du tricot. J'appris d'abord à faire de longues écharpes en laine, soit au crochet, soit avec de grandes et grosses aiguilles. Grand-mère, elle, se réservait les chaussettes à quatre petites aiguilles. Nous bavardions. Elle me racontait des histoires de son enfance, que je ne trouvais pas tellement différente de la mienne. D’après Nicole de Buron «C’est fou ce qu’on voit de choses dans la vie» 15. Que signifiait la deuxième cloche du déjeuner? 1) Tout le monde devait aller se laver les mains. 2) Tout le monde se réunissait dans le Petit Salon de Grand-mère. 3) Tout le monde se mettait à table. 4) Tout le monde sortait dans le jardin.

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Задание 22

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 14. Edith Piaf a passé ses premières années chez sa grand-mère maternelle parce que … 1) sa mère est morte à l’hôpital. 2) sa mère l’a abandonnée. 3) sa mère s’est remariée. 4) sa grand-mère l’a voulu.

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Задание 23

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 13. Elle est née pendant … 1) la guerre franco-prussienne. 2) la deuxième guerre mondiale. 3) la première guerre mondiale. 4) la guerre froide.

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Задание 24

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 16. Pourquoi le père a-t-il écrit à sa mère? 1) Il a vu que sa fille vivait dans de mauvaises conditions. 2) Il n’a jamais aimé la mère de sa femme. 3) Edith était malade et elle devait changer de climat. 4) Edith voulait voir sa grand-mère paternelle.

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Задание 25

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 12. Edith Piaf est née … 1) à l’hôpital. 2) à la maison. 3) dans la rue. 4) dans un taxi.

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Задание 26

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 18. Un jour on a remarqué que Edith était … 1) aveugle. 2) sourde. 3) muette. 4) paralysée.

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Задание 27

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 17. Quand Edith est arrivée chez sa grand-mère paternelle elle était … 1) jolie et bien habillée. 2) petite et toute rose. 3) grande et maigre. 4) rachitique et très sale.

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Задание 28

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. L’enfance d’Edith Piaf Edith est née le 19 décembre 1915, en pleine guerre. Son père Louis Gassion est venu à Paris, en permission, juste au moment où sa femme Line avait senti les premières douleurs. Line n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital et c’est sous un réverbère devant le 72 de la rue de Belleville que sa fille est née. Quand le père est reparti sur le front, sa femme était encore à l'hôpital Tenon. «Au bout de deux mois, Line, qui était une artiste lyrique, précisait le père, mais qui n'avait pas de cœur, a laissé notre fille à sa mère qui habitait rue Rébeval.» La famille maternelle d'Edith n'avait vraiment rien d'une famille de livres d'images, aucun rapport avec la Bibliothèque rose. La grand-mère et son vieux mari étaient alcooliques. Edith l'appelait «Mena». Elle n'a jamais su son nom et comme elle ne connaissait rien d'autre, elle croyait que c'était ça un foyer familial. Line avait cessé, depuis bien longtemps, d’écrire à son mari. Mais un jour, elle lui avait écrit sans grandes phrases:«Louis c'est fini, nous deux. J'ai mis la petite chez ma mère. Inutile de venir me voir quand tu rentreras». Ce n'était pas une raison pour qu'il abandonne sa fille. A la faveur d'une permission fin 1917 – la dernière – il va voir Edith et juge du désastre. Rachitique, une tête comme un ballon sur quatre allumettes. Si sale qu'il aurait fallu une paire de pincettes pour la toucher. Il se dit: «Faut faire quelque chose. Faut mettre la petite à l'abri dans un endroit convenable. Alors?» A l'époque il n'y avait pas tous les secours qu'il y a maintenant. D'ailleurs il ne serait pas venu à l'esprit du père d'en profiter. Malgré sa pauvreté, sa vie de hasard, jamais il n'aurait déposé sa fille à l'orphelinat. Alors le père Gassion a décidé d'écrire une lettre à sa mère qui était cuisinière en Normandie chez une de ses cousines qu’elle appelait «Madame». Rapidement, la mémé et «Madame» ont répondu:«T'inquiète pas, on va la chercher, ta môme.» Aussi, Louise, la grand-mère, et «Madame» Marie, la cousine, vont arracher Edith à la grand-mère maternelle qui répétait:«Elle se plaisait bien, la petite, chez nous, elle se plaisait bien ...» On ramène la gosse, ces «dames» battent des mains. Elles disent:«C'est bon signe une enfant dans cette maison, ça porte bonheur». Tout de suite on s'emploie au lavage d'Edith. Deux, trois, quatre eaux, la saleté faisait des écailles. La môme pleurait, se débattait. Plus tard Edith en parlait encore.«La mémé Louise m'avait acheté des vêtements neufs; quand elle a jeté mes nippes aux ordures j'ai pleuré, mais quand elle a voulu m'enlever mes chaussures alors j'ai crié à mourir: «C'est celles du dimanche!» que je disais. Mes doigts de pied passaient au travers.» En la lavant on s'aperçoit qu'elle a les yeux tout collés. On met ça sur le compte de la saleté.Ce n'est que deux mois plus tard qu'une des filles de «Madame» s'aperçoit qu'Edith se cogne partout, qu'elle regarde la lumière, le soleil sans les voir. Edith est aveugle! Peu après sa naissance elle a eu une cataracte. On ne s'en est même pas aperçu! Elle a été aveugle pendant près de trois ans. D’après S.Berteaut «Piaf» 15. Qu’ est-ce que Line a écrit à son mari qui était sur le front? 1) Je t’aime et je t’attends. 2) Inutile de venir me voir quand tu rentreras. 3) Edith est malade, je l’ai mise chez ma mère. 4) Je continue ma carrière et je pars en Normandie.

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Задание 29

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 15.Quelle phrase n’appartient pas au texte? 1) On doit ignorer la personne contre qui on est fâché. 2) Tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. 3) Je ne veux plus entendre parler de glaces! 4) Une bonne leçon ne te fera pas de mal.

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Задание 30

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 14.Le père de Nicolas, a-t-il accepté la punition? 1) Il a enlevé la punition. 2) Il a aggravé la punition. 3) Il a approuvé la punition. 4) Il est resté indifférent.

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Задание 31

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 16.Comment le père, a-t-il essayé de régler le conflit? 1) Il a acheté des glaces à toute sa famille. 2) Il est allé parler à son voisin. 3) Il est parti de la maison. 4) Il est allé parler à sa femme.

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Задание 32

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 13. En quoi consistait la punition de Nicolas? 1)La mère de Nicolas l’a mis au piquet. 2)La mère a privé Nicolas de glace. 3)La mère a fait à Nicolas laver toute la vaisselle. 4)La mère ne parlait plus à Nicolas.

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Задание 33

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 12.Pourquoi Nicolas, a-t-il été puni par sa maman? 1) Il a eu une mauvaise note à l’école. 2) Il s’est battu avec son copain. 3) Il a cassé une assiette pendant le déjeuner. 4) Il a été grossier avec sa mère.

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Задание 34

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 18.Nicolas, a-t-il mangé des glaces ce soir-là? 1) Oui, sa maman lui a offert des glaces après le dîner. 2) Oui, son père lui a acheté des glaces chez le marchand de glaces. 3) Non, le marchand n’est pas passé devant leur maison, il était malade. 4) Non, la punition a duré pendant toute la soirée.

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Задание 35

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. La punition – Qu'est-ce que tu m'as dit? m'a dit maman. Moi, j'étais très fâché, alors, j'ai dit à maman ce que je lui avais dit, et maman m'a dit: – Puisque c'est comme ça, pas de glace aujourd'hui! Alors ça c'était terrible, parce que tous les jours à quatre heures et demie, il y a un marchand de glaces qui passe devant la maison avec sa petite voiture et une sonnette, et maman me donne des sous pour m'acheter une glace, et il y en a au chocolat, à la vanille, à la fraise et à la pistache et moi je les préfère toutes, mais à la fraise et à la pistache c'est chouette parce que c'est rouge et vert. Je me suis mis à pleurer et j'ai dit que si je ne pouvais pas avoir de glace, je me tuerais. – Qu'est-ce qui se passe ici? a demandé papa. – Il se passe, a dit maman, que ton fils a été très méchant et désobéissant avec moi, et que je l'ai puni. Il n'aura pas de glace aujourd'hui. – Tu as très bien fait, a dit papa. Nicolas! Tais- toi! Cesse de pleurer, ça ne servira à rien; une bonne leçon ne te fera pas de mal. Alors moi je suis sorti de la maison, je me suis assis dans le jardin. Papa est venu dans le jardin, avec son journal, il m'a regardé, et puis il s'est assis dans la chaise longue. De temps en temps, il baissait son journal pour me regarder, et puis il a dit: Ne reste pas au soleil, Nicolas. Mets-toi à l'ombre. Il passe à quelle heure, ce fameux marchand de glaces? m'a demandé papa. – A quatre heures et demie, j'ai dit. Papa a regardé sa montre, il a soupiré, il a repris son journal, et puis il l'a baissé, et il m'a dit: Pourquoi es-tu méchant comme ça, Nicolas? Tu crois que ça nous fait plaisir à maman et à moi de te punir? Alors, je me suis mis à pleurer, j'ai dit que c'était pas juste, et que je ne l'avais pas fait exprès. Papa m'a caressé la tête, et il m'a dit: Ecoute Nicolas, je vais aller parler à ta mère. Après, tu iras lui demander pardon, et tu lui promettras de ne plus jamais recommencer. D'accord? Alors papa est entré dans la maison, et puis, j'ai entendu crier dans la maison, et papa est revenu dans le jardin, tout rouge, il s'est assis dans sa chaise longue, il a repris son journal, et puis il l'a chiffonné et il l'a jeté par terre. Et puis il m'a regardé et il a crié: Ah, et puis laisse-moi tranquille avec ta glace! Tu n'avais qu'à être sage. Maintenant on n'en parle plus! Compris? Et puis maman est sortie de la maison avec son filet à provisions. – Je vais faire des courses pour le dîner, a dit maman, et que je n'apprenne pas que tu as offert une glace à ton fils pendant mon absence! C'est très sérieux! Si nous cédons maintenant, cette leçon ne servira à rien! Il faut qu'il comprenne une fois pour toutes qu'il n'a pas le droit de dire et de faire n'importe quoi! Pendant le dîner, personne ne parlait parce que tout le monde était fâché avec tout le monde. Et puis, maman m'a regardé, et elle m'a demandé: – Bon, Nicolas, tu vas être gentil, maintenant? Tu ne feras plus jamais de peine à ta maman? Moi, j'ai pleuré un coup et puis j'ai répondu que je serais gentil, parce que c'est vrai, je l'aime bien, maman. Alors maman s'est levée, elle est allée à la cuisine, et elle est revenue en rigolant, et en apportant une grande glace à la fraise dans une assiette! Moi, j'ai couru embrasser maman, je lui ai dit qu'elle était la plus chouette maman du monde, et de la glace, j'en ai eu des tas et des tas. Parce que papa n'en a pas voulu. Il est resté là assis, en regardant maman avec des gros yeux ronds. D’après Sempé et Goscinny «Les bêtises du Petit Nicolas» 17.Comment la mère de Nicolas, a-t-elle réagi à cette démarche de son mari? 1) Elle a consenti à pardonner Nicolas. 2) Elle a interdit à son mari d’acheter des glaces à Nicolas. 3) Elle a pleuré d’émotion. 4) Elle a ri de bonheur.

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Задание 36

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 15.Monsieur Linh apprécie-t-il les plats? 1) Il les apprécie beaucoup. 2) Il ne les apprécie pas beaucoup. 3) Il ne les apprécie pas du tout. 4) Il reste indifférent.

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Задание 37

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 18.Pourquoi Monsieur Linh pousse-t-il «un petit cri» quand il ouvre le cadeau? Parce qu’il est ... 1) déçu. 2) heureux. 3) effrayé. 4) blessé.

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Задание 38

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 16. Monsieur Linh reçoit des cadeaux ... 1) régulièrement. 2) assez souvent. 3) plutôt souvent que rarement. 4) très rarement.

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Задание 39

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 14.Monsieur Bark commande les meilleurs plats parce que ... 1) les plats sont gratuits ce jour-là. 2) ce sont les plats favoris de la femme de Monsieur Bark. 3) il veut faire plaisir à Monsieur Linh. 4) ce sont les plats favoris de Sang diû.

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Задание 40

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 13.Le restaurant ... Monsieur Linh. 1) fait peur à 2) étonne 3) attriste 4) ennuie

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Задание 41

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 12.Quelle saison est-ce? 1) L’hiver. 2) Le printemps. 3) L’été. 4) L’automne.

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Задание 42

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Au restaurant Un jour, peu avant Noël, Monsieur Bark invite Monsieur Linh au restaurant. C'est un endroit grandiose, avec quantité de tables et quantité de serveurs. Monsieur Bark fait asseoir son ami qui contemple ébloui tout autour de lui. Jamais le vieil homme n'a vu un lieu aussi magnifique. Monsieur Bark demande une chaise supplémentaire sur laquelle ils installent Sang diû. On s'adresse ensuite à un homme habillé en noir et en blanc, avec un drôle de costume, qui note des choses sur un petit carnet, s'incline et puis s'en va. «Vous verrez, on va se régaler!»Monsieur Bark noue autour de son cou la grande serviette blanche qui était posée à côté de son assiette. Monsieur Linh en fait autant. Ensuite, il noue une autre serviette autour du petit cou de l'enfant, qui attend, sagement, sans rien dire, sur sa chaise.«On venait parfois ici prendre un café, avec ma femme», dit Monsieur Bark.Sa voix s'assourdit. Il y a un silence. Il parle de nouveau, mais avec lenteur. Parfois il s'interrompt un long moment, comme s'il allait chercher les mots très loin en lui et qu'il avait peine à les trouver. Monsieur Bark s'est tu. Il passe sa lourde main sur son front. Il regarde les nuages par la baie vitrée du restaurant. Il revient vers son ami et sur un ton grave lui dit:«Je suis drôlement content d'être ici avec vous, Monsieur Linh.» Le serveur revient avec les plats. Monsieur Bark a commandé ce qu'il y a de meilleur. Cela n’a pas de prix.Monsieur Bark et Monsieur Linh mangent et boivent. Monsieur Linh goûte des mets dont il ne soupçonnait même pas l'existence. Rien ne lui est connu mais tout est très bon. Monsieur Linh rit. Parfois, il tente de faire goûter un plat à son enfant. Elle est toujours sage, mais elle n'avale pas la nourriture. Monsieur Bark les regarde avec un sourire. Quand le serveur a débarrassé la table, après les desserts, Monsieur Bark se penche, saisit un sac qu'il avait déposé tout à l'heure à côté de lui en s'asseyant, en sort un joli paquet qu'il tend à Monsieur Linh. «Cadeau!» dit-il. Et comme le vieil homme hésite, il poursuit: «Mais oui, c'est pour vous Monsieur Linh, cadeau! Je vous en prie, prenez!» Monsieur Linh prend le paquet. Il tremble. Il n'a pas l'habitude des présents. «Eh bien ouvrez-le!» dit Monsieur Bark, en joignant le mouvement du geste à la parole. Le vieil homme défait délicatement le papier d'emballage. Cela prend du temps car il le fait avec méticulosité et ses doigts ne sont pas très habiles. Une fois le papier enlevé, il a dans les mains une belle boîte. Monsieur Linh ouvre le couvercle de la boîte. À l'intérieur, il y a une feuille de soie, légère, d'un rosé très tendre. Il l'écarte. Son cœur bat la chamade. Il pousse un petit cri. Une robe de princesse vient d'apparaître, délicate, somptueuse, pliée avec grâce. Une robe éblouissante. Une robe pour Sang diû! «Elle va être belle!» dit Monsieur Bark en désignant la petite des yeux. Monsieur Linh ose à peine poser ses doigts sur la robe. Il a trop peur de l'abîmer. Jamais il n'a vu un vêtement aussi beau. Il repose la robe dans la boîte, la recouvre du papier de soie, ferme le couvercle. Il prend les mains de Monsieur Bark dans les siennes, et les serre fort. Très fort. Longuement. En fin d'après-midi Monsieur Bark raccompagne Monsieur Linh. Le jour est agréable. Il ne fait pas très froid. Lorsqu'ils parviennent au pied de l'immeuble du dortoir, les deux hommes se saluent. Et le vieil homme, heureux, monte dans le dortoir en serrant sa petite fille contre lui. 17.Quel cadeau Monsieur Bark a-t-il offert à Monsieur Linh? 1) Une poupée. 2) Une robe. 3) Une feuille. 4) Un tambour.

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Задание 43

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 14. Quelle était la profession de Madeline? 1)Jardinière. 2)Fleuriste. 3)Artiste. 4)Formatrice.

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Задание 44

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 16. Quelle était l’attitude de Madeline envers son magasin? Madeline était … 1) déçue. 2) contente. 3) mécontente. 4) indifférente.

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Задание 45

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 17. Quelle était l’ambiance du magasin? 1) Rassurante. 2) Souciante. 3) Triste. 4) Violente.

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Задание 46

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 13. Quand Madeline est rentrée chez elle, elle avait ... 1) faim. 2) chaud. 3) froid. 4) peur.

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Задание 47

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 18. Pendant les vacances de Madeline, ... 1) le magasin était fermé. 2) un ami de Paris a pris le magasin en charge. 3) son assistant s’est chargé du magasin. 4) elle a dirigé le magasin à distance.

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Задание 48

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 12.Madeline louait ... 1)un jardin. 2)un deux-pièces. 3)un studio. 4)une cave.

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Задание 49

Прочитайте текст и выполните задания А12 – А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Retour de vacances Madeline claqua la portière de la voiture. Elle composa le code pour ouvrir la porte qui donnait sur une cour plantée d’arbres. Là, en rez-de-jardin, se trouvait l’appartement qu'elle louait depuis qu'elle habitait Paris. – Brrr! Il fait –15° C là-dedans! grelotta-t-elle en entrant dans le petit duplex, typique des ateliers d'artiste qui s'étaient construits dans le quartier à la fin du XIXe siècle. Elle alluma le chauffe-eau en grattant une allumette et mit sa bouilloire en marche pour se préparer un thé bien chaud. D’ailleurs, elle n’avait pas d’appétit. L'ancien atelier de peintre avait été transformé depuis un siècle en un joli appartement disposant d'un salon et d'une chambre en mezzanine. Mais la hauteur de plafond, les larges verrières qui perçaient le mur principal et le parquet en bois peint rappelaient la vocation artistique initiale et contribuaient au charme et au cachet du lieu. Comme d’habitude, elle s’y sentit rassurée. Elle prit une douche éclair, sortit de la salle de bains en frissonnant et attrapa dans son placard un tee-shirt, un jean et un gros pull en shetland. Prête à partir, elle enfila un blouson de cuir et noua autour de son cou son écharpe la plus chaude. Il était à peine plus de 8 heures lorsqu'elle enfourcha la selle de sa moto jaune flamme. Son magasin était tout près. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de la rue Delambre qu'elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s'étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film: cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, «à bout de souffle», s'écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de sa fiancée américaine. Madeline prit la rue Delambre jusqu'au Jardin Extraordinaire, la boutique qui faisait sa fierté et qu'elle avait ouverte deux ans auparavant. Elle remonta le rideau de fer avec appréhension. Jamais elle ne s'était absentée si longtemps. Durant ses vacances à New York, elle avait confié les rênes du magasin à Takumi, son apprenti japonais qui terminait sa formation à Paris. Lorsqu'elle pénétra dans le local, elle poussa un soupir de soulagement. Takumi avait suivi ses conseils à la lettre. Le jeune Asiatique s'était approvisionné la veille et la pièce débordait de fleurs fraîches: orchidées, tulipes blanches, lys, poinsettias, hellébores, renoncules, mimosa, jonquilles, violettes, amaryllis. Le grand arbre de Noël qu'ils avaient décoré ensemble brillait de tous ses feux et des gerbes de gui et de houx pendaient au plafond. Contente, elle quitta son blouson pour enfiler son tablier, rassembla ses outils de travail – sécateur, arrosoir, binette et s'attela avec bonheur aux tâches les plus urgentes, nettoyant les feuilles d'un ficus, rempotant une orchidée, taillant un bonzaï. Madeline avait conçu son atelier comme un lieu magique et poétique, une bulle propice à la rêverie, un havre de paix sécurisant loin du tumulte et de la violence de la ville. Quelle que soit la tristesse d'une journée, elle voulait que ses clients mettent leurs soucis entre parenthèses dès qu'ils franchissaient le seuil de sa boutique. Au moment de Noël, l'atmosphère de son Jardin Extraordinaire était particulièrement enchanteresse, renvoyant aux parfums de l'enfance et aux traditions d'antan. Une fois les «premiers soins» terminés, la jeune femme sortit les sapins pour les installer contre la devanture et ouvrit sa boutique à 9 heures tapantes. 15. Quelle était l’attitude de Madeline envers sa profession? Elle … sa profession. 1)détestait 2)n’aimait pas beaucoup 3)était indifférente envers 4)aimait beaucoup

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Задание 50

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 18.Aujourd’hui, «Au bon marché» est un magasin … 1) de luxe. 2) peu coûteux. 3) d’occasion. 4) peu fréquenté.

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Задание 51

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 12.Lequel des principes, cités ci-dessous, n’appartient pas au texte? 1) Les magasins sont très spécialisés. 2) Satisfait ou remboursé. 3) On n’indique pas les prix. 4) Le client a le droit de reprendre son argent sous certaines conditions.

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Задание 52

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 16. Une nouvelle organisation du commerce exige ... 1) beaucoup de petites boutiques. 2) de grands espaces. 3) moins de lumière. 4) des façades révolutionnaires.

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Задание 53

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 14.Qu’est-ce qui change dans le magasin créé par Paul Videau avec l’arrivée de Boucicaut? 1) On baisse les prix pour vendre le plus vite possible. 2) Le magasin commence à commander moins de marchandises. 3) On traite les clients individuellement. 4) Le magasin reçoit une spécialisation en textile.

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Задание 54

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 13.Qu’est-ce qui ne fait pas partie des caractéristiques de «magasins de nouveautés» au moment de leur apparition? 1) Affichage des prix. 2) Une belle présentation. 3) Une entrée libre. 4) Le client ne peut pas rendre son achat.

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Задание 55

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 15. Paul Videau vend sa part à Boucicaut parce que Paul Videau ... 1) voit que le magasin «Au bon marché» est en train de se ruiner. 2) va créer le magasin «Petit Saint-Thomas». 3) n’apprécie pas les projets de Boucicaut. 4) fait construire l’hôtel «Lutetia».

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Задание 56

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Bon Marché Le Bon Marché se situe à Paris, sur la rive gauche de la Seine. Ce n’est pas le plus connu des "grands magasins" parisiens. Et pourtant, c’est ce magasin qui a révolutionné le commerce de détail et l’a fait entrer dans l’ère de la consommation de masse. L’histoire du Bon Marché, c’est d’abord celle d’un homme, Aristide Boucicaut, un jeune Normand qui monte à la capitale à l’âge de 19 ans, en 1829. À l’époque, le petit commerce est encore basé sur des principes traditionnels: les magasins sont très spécialisés et proposent un choix limité d’articles, il faut toujours s’adresser à un vendeur, les prix ne sont pas affichés, ce qui génère d’interminables marchandages, le prix étant finalement souvent fixé à la tête du client. Mais les "magasins de nouveautés" commencent à faire une timide apparition: vitrine attrayante, entrée libre, affichage des prix. C’est dans l’un de ces magasins modernes, au Petit Saint-Thomas, situé rue du Bac, qu’Aristide Boucicaut se fait engager comme vendeur. L’homme ambitieux s’associe quelques années plus tard avec un certain Paul Videau qui a créé, peu de temps auparavant, un magasin de nouveautés Au Bon Marché. Boucicaut fourmille d’idées: tout d’abord, il instaure la vente à petits prix, fondée sur une rapide rotation des stocks. Le succès est tel que le chiffre d’affaires d'Au Bon Marché bondit de 450 000 à 7 000 000 de francs en quelques années. Paul Videau cède alors toutes ses parts à Boucicaut trop ambitieux pour lui. Voici donc Boucicaut seul maître à bord. C’est maintenant qu’il va créer le concept du "grand magasin", un magasin dans lequel on trouvera tout, et non plus seulement des articles de textile. Pour cela, il faut une architecture révolutionnaire. Derrière la façade classique de son magasin se cache une structure de fer qui permet l’installation de larges baies vitrées et l’aménagement d’immenses espaces bien dégagés à l’intérieur. Le succès est fulgurant. De la lingerie à l’ameublement, en passant par la papeterie, les jouets, la vaisselle, etc., on trouve tout au Bon Marché. Boucicaut innove à tout va: création des saisons, comme le mois du blanc, recours à de nouvelles formes de publicité, vente par correspondance, expédition gratuite des articles chez les clients, et surtout ce fameux principe dont le slogan fait toujours mouche aujourd’hui: "satisfait ou remboursé". Quant aux clients qui arrivent de loin, ils n’ont qu’à traverser le square Boucicaut pour se rendre dans le palace Le Lutétia, que Madame Boucicaut a fait construire tout exprès pour eux. Pour faire tourner cet énorme magasin, il faut un personnel conséquent: chefs de rayon, seconds et une kyrielle de vendeurs et vendeuses, souvent des jeunes filles arrivant de leur province et qui sont logées dans des chambrettes sous les toits du Bon Marché. Le travail est épuisant, même si Boucicaut, sous l’influence de sa femme, a développé un système paternaliste très avancé pour l’époque: journées de travail réduites à 12 heures au lieu de 16, rémunération à la commission, assurance-maladie, caisse de retraite. Aujourd’hui, Le Bon Marché est racheté par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, Le Bon Marché, démentant sans aucun scrupule son propre nom, puisque "bon marché" signifie "peu coûteux", Le Bon Marché donc est devenu le grand magasin de luxe de la rive gauche, celui dans lequel la bourgeoisie parisienne est assurée de trouver le fameux "bon goût à la française". 17.Le système paternaliste permet ... 1) de contrôler les économies des salariés. 2) de rendre le travail des salariés plus intéressant. 3) aux salariés de faire carrière. 4) de protéger les salariés.

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Задание 57

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 15.En éloignant le robot de l’entreprise, le comité cherchait à protéger ... 1) les délégués. 2) le directeur. 3) le robot. 4) les autres employés.

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Задание 58

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 14.Tout d’abord, le robot a rempli les fonctions de ... 1)secrétaire général. 2)directeur de l’entreprise. 3)comptable en chef. 4)employé peu qualifié.

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Задание 59

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 17. L’entreprise a perdu le contact avec le robot parce qu’il ... 1) était mort. 2) avait trouvé sa passion. 3) s’était perdu. 4) avait perdu l’adresse de l’entreprise.

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Задание 60

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 13. Quel problème a rencontré l’entreprise après la création du robot? On ne savait pas comment … 1) fermer les filiales. 2) réduire le nombre d’employés. 3) employer le robot d’une manière efficace. 4) remplacer le directeur de l’entreprise.

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Задание 61

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 16. Que le robot ne faisait-il pas en tant que délégué? 1) Aller en mission. 2) Assurer la communication entre les filiales. 3) Diriger les filiales de l’entreprise. 4) Dresser des bilans d’activités.

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Задание 62

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 18. Comment l’administration de l’entreprise a-t-elle réagi à la disparition du robot? 1) Elle s’en est préoccupée. 2) Elle est restée indifférente. 3) Elle a été satisfaite. 4) Elle est devenue joyeuse.

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Задание 63

Прочитайте текст и выполните задания А12–А18. В каждом задании укажите номер выбранного Вами ответа. Le Robot Quand il sortit des ateliers où il avait été créé, on le jugea tellement parfait qu'au premier moment on se demanda si vraiment il ne fallait pas lui accorder une carte d'identité. Mais, après tout, ce n'était qu'un robot. Physiquement, il n'avait rien de très extraordinaire. Il n'était ni très grand, ni même particulièrement beau. Un homme comme beaucoup d'autres, c'est ainsi qu'il avait été conçu. Peut-être pour dissimuler les incroyables capacités dont on avait doté son cerveau? Car ces capacités étaient tellement vastes qu'elles posaient un souci nouveau: à quoi allait-on employer ce robot? Car la société qui l'avait conçu et toutes ses nombreuses filiales, le robot aurait pu les diriger sans la moindre difficulté. En même temps, il aurait pu assumer la comptabilité générale de tout le réseau de firmes, la direction de tout le personnel, l'ensemble des questions administratives, la responsabilité de tout le secrétariat. Bref, coordonner les quelques centaines de services et les réunir en un seul centre nerveux capable d'envisager n'importe quel problème et de lui donner sans hésiter une solution efficace. Mais comme le directeur général de la société se croyait irremplaçable, on décida de considérer ce robot comme s'il avait été un employé normal, ni plus doué ni moins doué qu'un autre. C'est ainsi que, pour commencer, on le relégua au sous-sol, au rayon de l'expédition. En une seule heure, le robot liquida dix jours de retard, tout le travail de la journée et celui qui était préparé pour le lendemain. Puis, le robot devint secrétaire. Après une demi-heure de travail, il avait terminé le travail de toutes les dactylos, après quoi il se mit à répondre, anticipant avec génie, à des lettres qui n'étaient pas encore arrivées, bâclant le courrier des jours à venir. Le comité d'administration de la société comprit que jamais on ne pourrait employer le robot dans un endroit où il aurait à côtoyer d'autres employés. Il était urgent de l'isoler, sous peine de provoquer à travers tous les services une irrémédiable épidémie d’infériorité. On fit donc du robot un délégué. Son travail était complexe, mais bien défini: voyager de ville en ville, faire la liaison entre les diverses filiales de l’entreprise, envoyer régulièrement des rapports et des suggestions. Pendant un an, le délégué accomplit son travail. Coordonnant, rapportant, voyageant, sans prendre une seule heure de repos. Quant aux milliers de suggestions qu’il fit à la direction, elles permirent à la société de tripler son chiffre d’affaires en un mois. Puis, un jour, on perdit le contact. On avait envoyé le délégué en Italie, il était bien arrivé, il avait adressé un premier rapport. Puis plus rien. Et personne ne connaissait son adresse à Rome. Les responsables essayèrent de résoudre les problèmes immédiats causés par la disparition du robot, mais en vain. On dut se résoudre à envisager la faillite pour un jour très proche. Quant au délégué, on le fit rechercher par toutes les polices du monde, mais en vain. On en arriva à imaginer qu'il s'était désintégré. Ce qui était faux. Le robot vivait toujours. À Rome, d'ailleurs. Mais il avait complètement oublié ses fonctions, son rôle, ses responsabilités. Il avait tout oublié. Il passait toutes ses journées dans la petite salle d'un musée de la capitale. Il venait là dès le matin, il n'en sortait qu'à la fermeture. Il était tombé éperdument amoureux d'une chose qui était là, dans une vitrine de ce musée: une ravissante petite pendule du XVIIIe siècle. 12.Le robot était ... 1) très beau. 2) ordinaire. 3) d’apparence exotique. 4) très laid.

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Задание 64

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 15. Comment était le cadeau de Thibaut? 1) C’était un pot de fleurs avec une surprise sous la surface de la terre. 2) Le jeune homme a fait cadeau d’un gros sac à dos. 3) Thibaut a apporté une photo de sa famille. 4) L’ami de Laure a offert un gros bouquet de fleurs à sa mère.

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Задание 65

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 14. Pourquoi Matthieu était-il fâché contre son fils? 1) Olivier était en retard pour le dîner, il est arrivé au fromage. 2) Le jeune homme travaillait dans la publicité pour la télévision. 3) Olivier a abandonné ses études de droit pour le théâtre. 4) Le garçon était vulnérable et ne pouvait pas se débrouiller seul.

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Задание 66

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 18. Commentez la phrase de Laure: «Telle mère, telle fille». 1) La jeune fille voulait se marier vêtue de la robe de sa mère. 2) Elle voulait avoir les photos de mariage semblables à celles de ses parents. 3) Elle voulait organiser une grande fête pareille au mariage de ses parents. 4) Laure voulait se marier dans le même endroit que sa mère.

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Задание 67

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 13. Pourquoi a-t-on surnommé Laure «la petite bombe»? 1)Laure était petite de taille et très grosse. 2)Elle avait un mélange explosif de volonté et d’optimisme. 3)Elle éclatait toujours de rire. 4)Laure cassait tout autour d’elle.

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Задание 68

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 16. Quelle nouvelle Laure a-t-elle annoncée à ses parents? 1) Laure et Thibaut ont décidé de se consacrer au théâtre. 2) Les jeunes gens voulaient quitter Paris pour aller en Bretagne. 3) Laure et Thibaut ont décidé de se marier. 4) Ils voulaient s’installer dans le château «Montplaisir».

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Задание 69

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 12.Quelle habitude avaient les enfants de l’auteur quand ils rentraient à la maison? 1) Les enfants tournaient la clé dans la serrure. 2) Ils prenaient l’apéritif au salon. 3) Ils fouillaient dans les tiroirs. 4) Les enfants levaient les yeux pour voir si les fenêtres étaient allumées.

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Задание 70

Прочитайте текст и выполните задания 12–18. В каждом задании запишите в поле ответа цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному Вами варианту ответа. Une bonne nouvelle Cette amazone casquée, perchée sur sa moto avec un gros sac à dos, c'est ma fille, c'est Laure! La pluie tombe depuis un moment, traversée par les brusques bouffées d'un vent chasseur qui me rend mon enfance, ma Bretagne. Comme Laure arrive en bas de la maison, elle lève les yeux pour voir s'il y a de la lumière. Ils ont toujours fait ça, les enfants, en revenant de l’école, du lycée, de l'université; vérifier que c’était allumé, qu'il y avait bien quelqu'un. Laure est l’aînée: vingt-quatre ans, deux de plus qu'Olivier. «La petite bombe», l'a surnommée son père. Menue, rondelette, elle a toujours fait preuve d’une volonté de fer et d'un optimisme à tout casser, mélange parfois explosif, en effet. Elle a les cheveux blonds et les yeux bleus. Regard vert, tignasse brune, 45 de pointure, c'est le petit-grand frère, de mes deux enfants le plus vulnérable. Laure l’a toujours protégé. Lorsqu'il a décidé d’abandonner ses études de droit pour se consacrer au théâtre et qu’il a quitté la maison, quand Matthieu lui a annoncé qu’il devrait désormais se débrouiller seul, elle l’a défendu. Le physique d’Olivier plaît; il s'en tire à peu près grâce à de la publicité pour la télévision. Le couvert est mis. Tout est prêt. En attendant, nous prenons l'apéritif au salon. – Voilà Papa! Une clé tourne dans la serrure. Matthieu apparaît à la porte. – Quelqu’un d’autre au programme? – Oui, Thibaut! Thibaut est arrivé, portant cérémonieusement un pot de fleurs … sans fleur. On ne voyait, à la surface de la terre, qu'un fin tapis de cailloux blancs. – La surprise est dessous, a-t-il déclaré en me l'offrant. Si tout se passe bien, elle devrait s’épanouir en avril. Elle réclame un climat tempéré, quelques gouttes d'eau minérale chaque jour et de douces paroles. Les yeux de Thibaut m'ont souri derrière les larges lunettes. Je me sentais une grande tendresse pour lui; son cadeau lui ressemblait. Le dîner a été animé. Olivier est arrivé au fromage. – Si cela ne vous ennuie pas trop, soyez à la maison samedi à onze heures, a déclaré notre fille du ton neutre. – Ah bon, et pourquoi ça? a demandé Matthieu distraitement. – Eh bien, parce que les parents du jeune garçon plein d'avenir que vous voyez à votre table viendront vous rendre visite, a poursuivi Laure en désignant Thibaut. – Veux-tu dire … – Que nous nous marions? Eh oui, a soupiré Laure. L’atavisme, vous savez ce que c'est! Le visage radieux, Laure racontait: ses futurs beaux-parents vivaient en Anjou, dans le petit château de famille: «Montplaisir», depuis que M. de Marcey avait pris sa retraite. Thibaut avait trois sœurs et un frère aîné, tous mariés. Le concubinage n'étant pas le genre de la famille – alors là, pas du tout! Bref, on veut un vrai mariage, une grande fête avec tout le monde, des tas de cadeaux! – C'est plutôt une bonne nouvelle, tu ne trouves pas, Matthieu? – Bien sûr que si! Mais ils ont une façon de vous les assener, leurs bonnes nouvelles! Dans le salon, on a entendu le rire des enfants. A genoux sur la moquette, Laure fouillait dans le tiroir aux photos. – Enfin, je l'ai! s'est exclamée Laure. Elle m'a mis sous le nez la photo qu'elle cherchait. C’est le printemps. On le voit aux aiguilles d’or des genêts, aux frênes en fleur, à une certaine tendresse de la lumière sur le pourpre des pivoines. Au cœur d’une pelouse, une jeune femme en tulle blanc sourit à un jeune homme en jaquette, l'air un peu guindé. Telle mère, telle fille, a déclaré Laure. Je me marierai à l’Auberge, comme toi. D’après Janine Boissard «La Reconquête» 17. Quel mariage Laure et Thibaut voulaient-ils avoir? 1) Un beau mariage traditionnel, avec tout le monde. 2) Un mariage civil uniquement. 3) Un mariage religieux au château de famille. 4) Un mariage modeste avec peu d’invités.