Практикум ЕГЭ по французскому языку. Задания №12 — 18
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Задание 1
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 12. Selon l’auteur, il est difficile de faire du sport en janvier parce que (qu’)… 1) ça glisse et il fait du vent. 2) les températures baissent en hiver. 3) on veut dormir tout le temps. 4) il fait nuit plutôt que d’habitude.
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Задание 2
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 13. Le docteur J.-J. Menuet dit qu’en hiver, une heure avant de faire du sport, il est important de… 1) bien dormir et se détendre. 2) consulter les prévisions météo. 3) manger quelque chose. 4) consulter son médecin.
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Задание 3
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 18. Si les températures sont négatives, les médecins conseillent de (d’)… 1) se reposer sans faire du sport. 2) faire des étirements à la fin de l’exercice. 3) prendre sa température avant de sortir. 4) éviter l’effort physique si on est enrhumé.
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Задание 4
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 14. Quand on part faire du sport, le docteur J.-J. Menuet conseille d’emporter une boisson chaude parce qu’elle… 1) apporte plus de calories. 2) facilite la respiration. 3) détend les muscles du corps. 4) facilite la circulation du sang.
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Задание 5
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 16. Le docteur J.-J. Menuet conseille de sortir pour faire du sport… 1) plutôt dans la matinée. 2) au milieu de la journée. 3) plutôt dans la soirée. 4) à n’importe quel moment.
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Задание 6
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 17. Le docteur J.-J. Menuet dit que la température ressentie dépend de… 1) nos habitudes alimentaires. 2) la forme physique de la personne. 3) nos habitudes sportives. 4) la vitesse d’entraînement.
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Задание 7
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Conseils pour faire du sport en hiver Avec l’hiver, les températures extérieures baissent et notre motivation pour aller faire du sport aussi. Mais si vous faites partie des courageux, voici quelques précautions à prendre. À quelques jours du mois de janvier, commence la saison des bonnes résolutions. Bien sûr, la reprise d’une activité sportive en fera partie. En revanche, il est difficile de trouver de la motivation pour se remettre en forme après les fêtes, lorsque le thermomètre indique moins de cinq degrés. Jean-Jacques Menuet, médecin du sport, nous donne quelques conseils pour pratiquer une activité sportive en toute sécurité dans le froid hivernal. Premier réflexe à avoir quand on part faire du sport lorsqu’il fait froid est de «mettre de côté des calories, car plus il fait froid, plus on dépense de calories. Hors de question de partir à jeun, le ventre vide, l’hiver», indique le médecin, au risque de faire de l’hypoglycémie. Attention, il ne faut pas manger juste avant l’effort. Il est conseillé de prendre son repas une heure avant le début de l’exercice. Avant l’effort, le Dr Menuet dit de prendre du jus de betteraves rouges, ce qui facilitera la circulation du sang. Lorsqu’on fait du sport dans le froid, le docteur dit aussi de bien s’hydrater pendant l’effort et de partir avec une boisson chaude plutôt que froide. Cela permet de réchauffer les bronches et évite de faire une crise d’asthme, car on respire avec plus de difficulté quand les températures sont basses. Il est très important de s’échauffer avant toute activité physique en période de froid. J.-J. Menuet conseille d’ailleurs de privilégier «un échauffement à l’intérieur avec quelques exercices pour que le corps soit échauffé avant de sortir». L’échauffement est primordial surtout dans le froid pour éviter les blessures. «Avec le froid, les muscles sont beaucoup plus fragiles, le risque de se faire du mal est plus important», prévient le Dr Menuet. Il est aussi recommandé de faire attention aux horaires auxquels on décide d’aller pratiquer une activité physique. «Lorsqu’il fait froid, il faut privilégier un horaire dans la journée où il fera un petit peu meilleur. Sortir à 14 h ou 15 h plutôt qu’à 9 h est préférable», souligne le médecin. Face au froid, il faut savoir se protéger correctement. La solution est de se couvrir suffisamment mettant une couche sur une autre pour ne pas avoir froid, mais attention à ne pas en mettre trop pour ne pas étouffer après les premières minutes d’effort. Le plus important est de protéger le front et la nuque, «car si ces zones ne sont pas protégées, la température de notre corps risque de diminuer». Ne pas hésiter donc à mettre un bonnet. En plus, lorsqu’on fait du sport en extérieur, «la température ressentie n’est pas la même», comme nous l’indique le médecin du sport. «Avec la vitesse de l’exercice, la température qu’on éprouve subjectivement peut baisser de 5 ou 6 degrés». Il faut donc être très vigilant à avoir un équipement complet avant de sortir. Quand la température est inférieure à 0º C, il faut y aller en douceur au début, car le cœur est soumis à un travail important. Privilégiez donc des exercices qui n’exigent pas d’accélérer ou de ralentir brusquement les mouvements. N’oubliez pas de vous étirer à la fin de votre séance pour éviter les blessures et les douleurs musculaires qui sont plus fréquentes avec le froid. Les cardiologues disent de ne pas faire d’exercices à l’extérieur lorsqu’il fait très froid. Il n’est pas déconseillé de faire du sport lorsqu’on a un petit rhume. En revanche, il ne faut jamais s’entraîner à l’extérieur lorsqu’on a de la fièvre. 15. Le docteur J.-J. Menuet dit de s’échauffer à l’intérieur avant de faire du sport dehors parce qu’on… 1) risque de se blesser. 2) risque d’attraper un rhume. 3) peut boire plus d’eau. 4) risque d’avoir mal à la tête.
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Задание 8
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 17. Le point négatif du repas en poudre est que (qu’)… 1) il faut mettre beaucoup de temps pour le manger. 2) il risque de provoquer des maladies. 3) son prix est plus élevé par rapport à d’autres produits. 4) il contient beaucoup de substances chimiques.
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Задание 9
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 18. Pour les repas en poudre, les spécialistes conseillent d’en manger… 1) pendant un voyage. 2) après le sport. 3) de temps en temps. 4) à chaque repas.
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Задание 10
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 13. Les repas à boire sont destinés aux personnes qui… 1) veulent perdre du poids rapidement. 2) font attention à leur alimentation. 3) sont de mauvais cuisiniers. 4) aiment expérimenter en nourriture.
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Задание 11
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 14. En France, les repas à boire se développent grâce aux… 1) supermarchés et cantines. 2) chaînes de restauration rapide. 3) producteurs de jeux vidéo. 4) restaurateurs célèbres.
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Задание 12
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 16. Le repas «intelligent» est destiné aux gens qui veulent… 1) économiser de l’argent sur la nourriture. 2) remplacer le fast-food par une nourriture saine. 3) suivre un régime alimentaire à la mode. 4) inclure plus de boissons dans leur alimentation.
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Задание 13
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 15. Les repas à boire permettraient aux sportifs de (d’)… 1) manger de manière plus régulière. 2) avoir beaucoup plus de muscles. 3) avoir à manger en compétitions. 4) avoir plus de forces en entraînements.
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Задание 14
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les repas à boire, la nouvelle fantaisie des gens pressés Ils s’appellent Feed, Vitaline, Solyent… Ces repas déshydratés, c’est-à-dire qui ne contiennent pas d’eau, sont vendus sous forme de bouteille. Pas besoin de four, d’appareils ménagers ni même d’aliments. Les repas à boire prennent la forme d’une poudre, présentée dans des bouteilles transparentes, à laquelle il faut ajouter de l’eau pour obtenir une masse à boire. Ces repas se disent «100% équilibrés» et riches en nutriments, conçus à base de dizaines d’ingrédients comme du riz, des fruits et des légumes. Les saveurs vont de cacao à carotte-curry en passant par cèpe et amande. Ces produits ne sont plus hypocaloriques, comme leurs précédents des années 1990. Pas question de maigrir ici, mais de remplacer un repas, en mangeant sain. La tendance est arrivée des USA, initiée par le produit américain Soylent dont les ventes devraient atteindre 9 milliards de dollars à l’international d’ici un an. Le potentiel de ces «repas intelligents» est encore difficile à estimer en France, mais le secteur se développe, comme la société Feed, qui a déjà signé un partenariat avec le chef étoilé et le grand cuisinier français Thierry Marx et compte se développer à l’international. La société, active sur les réseaux sociaux, était présente fin octobre au salon Paris Games week, consacré aux jeux vidéo. Pour prendre ses distances, la start-up française Vitaline, commercialisée en ligne et très à la mode, s’oriente vers une clientèle aux revenus élevés en proposant des produits, avec des probiotiques de qualité et des ingrédients bio. Les prix pour des bouteilles-repas de 400 et 650 kilocalories tournent autour de 3 €. Vitaline, qui vise principalement les personnes de 35-45 ans, aimerait attirer aussi des sportifs qui représenteraient 75% de sa clientèle actuelle. Car si ces produits n’ont pas pour objectif de devenir une alimentation quotidienne, ils permettent d’économiser assez de place aux coureurs de marathons. Le «repas intelligent» est destiné aux gens pressés, aux personnes actives qui n’ont pas le temps ou l’envie de préparer un plat complet et équilibré. «C’est une alternative saine aux burgers et aux sandwichs triangle», avance Sébastien Worms, cofondateur de Vitaline. S’ils ont leurs adeptes, les repas en poudre étonnent fort. «Nous ne voulons pas remplacer la dinde de Noël», insiste pourtant Sébastien Worms. Pour persuader plus de Français de se décider et de tenter l’expérience, les entreprises diversifient leur offre. Certaines sociétés ont lancé des biscuits à base de céréales et de légumineuses, composition qui diffère des produits énergétiques, recherchés pour maigrir ou gagner de la masse musculaire. Vitaline a commencé à préparer des repas vendus directement sous forme liquide, d’apparence plus agréable. Ce projet sera bientôt achevé grâce au groupe agroalimentaire Even, déjà présent sur le secteur du lait en poudre, qui accompagne ce lauréat de son aide d’innovation. Aussi équilibrés soient-ils, les repas déshydratés en poudre sont à consommer avec modération. «Il est important de mâcher la nourriture, de se servir de ses dents. Sans cela, la mâchoire risque de s’affaiblir», souligne un dentiste. Ces repas en liquide causent encore un problème, celui d’insatisfaction, car il faut mâcher 20 à 30 minutes pour que le cerveau ait le temps d’analyser et de ne plus ressentir la faim. Pour une consultante en nutrition, «ces repas peuvent nous aider quelques fois, si le produit est bien fait, mais il faut faire attention à ne pas envoyer de faux messages en nuisant à l’éducation nutritionnelle des consommateurs». 12. Pour préparer un repas à boire, il faut… 1) mettre la bouteille dans l’eau chaude. 2) faire chauffer la bouteille dans un four. 3) mettre de l’eau dans la bouteille. 4) mettre du jus de fruit dans la bouteille.
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Задание 15
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 13. La nécessité du changement s’explique par la/le… 1) perte d’intérêt des jeunes envers les Jeux. 2) diminution du nombre de sports traditionnels. 3) manque d’entraînement intensif de jeunes athlètes. 4) manque d’équipements sportifs pour les jeunes.
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Задание 16
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 12. Le sommet à Lausanne a été organisé pour décider sʼil faut… 1) publier le programme des prochains Jeux. 2) reconnaître lʼe-sport comme un sport olympique. 3) tester l’e-sport avant les prochains Jeux. 4) runir les adeptes du clavier et de la manette.
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Задание 17
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 17. En devenant une discipline olympique, l’e-sport… 1) remplacera certains sports traditionnels. 2) fera l’objet d’études scientifiques en sport. 3) sera inscrit dans la loi et accepté par le public. 4) influencera le genre de jeux vidéo fabriqués.
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Задание 18
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 16. Pourquoi en France on est moins enthousiaste? 1) Il est difficile de persuader le ministère de l’e-sport. 2) Le nombre de disciplines en compétition est limité. 3) Des organismes régionaux bloquent les décisions. 4) Il y a peu d’athlètes professionnels dans l’e-sport.
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Задание 19
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 15. Selon le CIO, pour introduire l’e-sport, il faut… 1) connaître les candidatures des athlètes. 2) publier les règles des jeux électroniques. 3) mettre en place des mesures de contrôle. 4) avoir l’accord de la fédération française.
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Задание 20
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 18. L’introduction de l’e-sport permettra aux éditeurs de… 1) fabriquer des jeux vidéo en grandes quantités. 2) faire de la publicité de produits pendant les Jeux. 3) vendre des jeux pendant les premières semaines. 4) tirer le meilleur profit de la vente de jeux vidéo.
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Задание 21
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. L’e-sport va-t-il devenir une discipline olympique? Les temps changent. Après le croquet et le tir à la corde, à quand les jeux vidéo au programme des Jeux Olympiques? Tout cela relève encore de l’hypothèse, mais la question se pose. Samedi 28 octobre, à l’occasion d’un sommet à Lausanne, le Comité international olympique (CIO) a fait un pas vers les adeptes du clavier et de la manette. Désignés sous l’anglicisme d’e-sport, les sports électroniques de compétition «pourraient être considérés comme une activité sportive, a déclaré l’institution. Les joueurs qui les pratiquent se préparent et s’entraînent avec une intensité comparable à celle des athlètes d’autres sports plus traditionnels». Cette prise de position fait suite à une première déclaration de Tony Estanguet, en août. «On doit se pencher dessus parce qu’on ne peut pas l’ignorer», déclarait alors le codirecteur de la candidature parisienne pour les Jeux Olympiques 2024. Ce soudain intérêt pour la chose vidéoludique peut se comprendre. Il traduit le besoin du CIO de parler à la jeunesse, public sur lequel les Jeux semblent exercer de moins en moins d’attrait. L’historien Patrick Clastres souligne «un décrochage des publics de moins de 30 ans, ceux qui sont nés avec Internet». De surcroît, le contenu des Jeux Olympiques a évolué «très lentement» depuis la fin du 19e siècle, estime ce spécialiste de l’olympisme. Allant dans le sens d’un rapprochement, la société Intel a annoncé la tenue d’une compétition de e-sport «en guise de prélude» aux Jeux Olympiques d’hiver 2018 de PyeongChang (Corée du Sud). À l’échelle régionale, le Conseil olympique d’Asie est déjà allé encore plus loin. En avril, l’instance régionale annonçait qu’elle intégrera les sports électroniques comme discipline «médaillable» aux Jeux asiatiques de 2022, en Chine. De là à envisager pareil scénario pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris? Le CIO a posé deux prérequis à une éventuelle reconnaissance, et donc à leur possible candidature au programme olympique. D’abord, l’adhésion aux «valeurs olympiques». Puis, surtout, «l’existence d’une organisation garantissant la conformité aux règles et réglementations du mouvement olympique (antidopage, paris, manipulation, etc)». En France, Denis Masseglia se montre «prudent». «Rien n’est à exclure, tout est à discuter», estime le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Il admet la possibilité de reconnaître un jour une fédération française de sport électronique avec l’agrément du ministère de tutelle. À propos des Jeux Olympiques d’été, le dirigeant rappelle cependant un élément important: l’événement a atteint le plafond de 28 disciplines et d’autres ont déjà manifesté leur volonté d’entrer au programme comme sports additionnels, c’est-à-dire ponctuels: squash, ski nautique, billard ou sports de boules. Pour le monde du jeu vidéo, l’entrée de l’e-sport dans le cénacle olympique marquerait un signe fort. Elle «offrirait une reconnaissance sociale et une légitimité institutionnelle supplémentaire à l’e-sport et aux e-sportifs», résume Nicolas Besombes, docteur en sciences du sport. Surtout, une reconnaissance olympique ferait les affaires des éditeurs de jeux vidéo. «Ce serait une manne financière non négligeable pour cette industrie, car le CIO reverse une partie de ses bénéfices aux fédérations qui y ont pris part», rappelle le chercheur. Ce dernier évoque aussi la perspective «d’optimiser les ventes sur la durée», alors qu’historiquement, l’essentiel de la carrière commerciale d’un jeu tient à ses trois premières semaines en boutique. 14. Pour remédier la situation, Intel a décidé de/d'… 1) fabriquer des tenues de sport publicitaires. 2) organiser un championnat de jeux vidéo. 3) attribuer des médailles aux gagnants. 4) tester l’e-sport au Conseil olympique d’Asie.
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Задание 22
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 12. Pourquoi les enfants ont-ils organisé le jeu aux boules de neige? 1) C’était le jeu du collège contre le lycée. 2) Le prof de sport a proposé ce jeu. 3) La première neige est tombée. 4) Les cours étaient annulés.
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Задание 23
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 14. Quelle était la réaction des petits quand Camille est entrée dans leur jeu? 1) Les petits la roulent dans la neige. 2) Les petits étaient contents d’avoir une nouvelle cible. 3) Les petits la chatouillent en lui faisant manger une poignée de flocons. 4) Les petits lui ont mis de la neige dans le cou.
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Задание 24
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 16. Quelle phrase a gâché à Camille son envie de jouer? 1) Fais-leur bouffer de la neige! 2) Fallait pas les provoquer! 3) Pitié, madame! 4) Vous êtes ridicules!
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Задание 25
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 13. Qu’est-ce que Camille a proposé à son amie Léa? 1) Camille lui a proposé de jouer avec les autres. 2) Camille voudrait que Léa lui fasse des boules de neige. 3) Camille a dit à son amie de se mettre à l’abri. 4) Camille a invité son amie à entrer dans le hall du lycée.
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Задание 26
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 15. Qu’est-ce qui a étonné Camille? 1) La contre-attaque de Léo était sévère. 2) Le petit s’est sauvé à quatre pattes, le dos à l’air. 3) C’était la première fois de sa vie qu’on l’a appelée madame. 4) Léa a fui vers le hall pour se mettre à l’abri.
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Задание 27
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 18. Quelle phrase ne décrit pas la situation après la sonnerie? 1) Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. 2) Les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. 3) Léo secoue la neige de son blouson. 4) Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou.
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Задание 28
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Les boules de neige Aux abords du lycée, avec la première neige, c’est une joyeuse cohue. Entre les voitures ou les scooters qui dérapent, et ceux du collège qui chahutent à coups de boules de neige partout, on a du mal à se frayer un chemin. Avec mon amie Léa, on se dépêche pour éviter les boules qui pleuvent. Près du grand portail, j’aperçois des garçons de notre classe qui jouent avec les plus petits. Je propose à Léa: - J’irais bien m’éclater avec eux… Tu viens? - Non, Camille, j’ai déjà froid. Ils vont m’en mettre dans le cou et j’ai pas envie. Sur le muret, je ramasse quand même de la neige et je vise Léo. Il est touché à l’épaule et identifie aussitôt l’origine du tir. Pourquoi ai-je tiré sur le seul qui se prend pour une machine de guerre? La contre-attaque est sévère. Et il y a un dommage allié: les petits se sont rendu compte que j’étais entrée dans leur jeu et, trop contents d’avoir une nouvelle cible, ils s’en prennent aussi à moi. Léa fuit vers le hall pour se mettre à l’abri. - Bonne chance, ma vieille! me crie-t-elle en cherchant son souffle. Fallait pas les provoquer! Les collégiens me chargent. J’hésite à m’enfuir, mais je n’arriverai jamais à leur échapper. Je dois faire face. J’attrape le premier qui arrive et je décide d’en faire un exemple. Je le roule dans la neige et je le chatouille en lui faisant manger une poignée de flocons. Il est mort de rire et appelle ses copains à l’aide. Petits monstres! Ils sont solidaires! Sentant que je ne vais pas pouvoir résister à la horde qui rapplique, Léo, Malik et Clément se rangent à mes côtés. J’en fais tomber un deuxième et je lui frictionne la figure avec de la neige. Il se tortille en suppliant: - Pitié, madame! Madame? Mais quel âge croit-il que j’ai? Je suis étonnée. C’est la première fois de ma vie qu’on m’appelle madame! Profitant de ma stupeur, il se sauve à quatre pattes, le dos à l’air. Dois-je lui dire de se couvrir ou que je vais le tuer? Face à nous, la cavalerie du collège déferle. Mes copains ont beau faire écran, c’est un véritable déluge de boules parfois bien tassées qui s’abat sur moi. Je ne vois plus rien. J’ai de la neige dans les yeux. En titubant, je recule, et je percute Dorian qui tente de rallier le hall. - Vous jouez comme des bébés, siffle-t-il. Vous êtes ridicules. Si vous ne voulez pas grandir, fallait rester en 6e… Je m’essuie les yeux, désemparée. Il est déjà loin, secouant la tête avec mépris. Les boules pleuvent toujours mais ce crétin m’a gâché mon envie de rire. Pourquoi n’aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux? Qu’est-ce qui est le plus débile: jouer à la neige ou s’extasier sur une application de téléphone aussi futile que payante? Une grappe de petits suspendue à ses épaules, Clément s’écroule à mes pieds. - Aide-moi, Camille! Fais-leur bouffer de la neige! Je n’arrive pas à bouger. Quand je me pose des questions, je ne parviens plus à m’amuser. Ça sonne. Comme une nuée de moineaux, les collégiens disparaissent vers leurs bâtiments. On reste entre nous, un peu hébétés. Léo secoue la neige de son blouson. Malik se plie en deux pour faire tomber la boule glacée qu’il a dans le cou. C’était bien. À part l’autre abruti qui passe sa vie à embêter ceux qui l’entourent, c’était vraiment bien. Les rares fois où l’on arrive à tout oublier, à se laisser aller dans l’instant, personne ne devrait avoir le droit de vous agresser. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 17. Comment Camille a-t-elle réagi à cette phrase? 1) Camille a dit que c’était vrai. 2) Camille a expliqué que c’était une compétition. 3) Camille s’est arrêtée. 4) Camille a dit que cela ne regardait pas les autres.
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Задание 29
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 12. Comment est le grand hall du lycée le matin avant les cours? 1) Il est désert, il n’y a personne, les lycéens attendent dans la cour. 2) Les élèves s’y réunissent et se mettent en rangs par deux. 3) Les professeurs y attendent leurs élèves en parlant des problèmes les plus urgents. 4) Il est plein de lycéens qui s’embrassent, s’appellent, rigolent et se retrouvent.
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Задание 30
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 13. Qu’est-ce qui ne va pas chez la prof de philosophie? 1) Son nom est difficile à porter. 2) La prof se néglige et ne se soigne pas. 3) La prof n’est pas belle. 4) La prof ne connaît pas sa matière.
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Задание 31
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 15. À quel événement était consacré le tract distribué à l’école? 1) À l’anniversaire des profs. 2) À la fête des élèves. 3) À l’anniversaire du lycée. 4) À la fête nationale.
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Задание 32
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 16. Qu’est-ce qui n’est pas prévu dans le programme de la fête? 1) Un spectacle musical joue par des enseignants et des élèves. 2) Les feux d’artifice. 3) La rencontre avec des anciens élèves. 4) Une boum géante.
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Задание 33
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 14. Comment est la réaction des élèves au maquillage et à la tenue de leur prof? 1) Les élèves rigolent en douce. 2) Les élèves lui apportent un miroir. 3) Les élèves lui font des remarques. 4) Les élèves se moquent d’elle.
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Задание 34
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 18. Quelle phrase n’appartient pas au texte? 1) Le lycée va fêter ses cinquante ans. 2) Même mes parents n’étaient pas nés. 3) C’est bien de savoir qu’ils ont survécu. 4) Par contre, je crois que le proviseur était déjà là à l’ouverture.
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Задание 35
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au cours de philosophie L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. Aujourd’hui, ça va bientôt sonner mais, pour le moment, tout le monde s’engouffre dans le grand hall. Chacun s’embrasse, s’appelle, rigole et se retrouve. Dans quelques instants, au signal sonore, cette masse grouillante va se répandre dans les couloirs, les escaliers, les étages et à peine trois minutes plus tard, il n’y aura plus personne, à part quelques retardataires. Après le tumulte, plus de bruit hormis le son étouffé des voix dans les classes, derrière les portes fermées. Ce matin, on commence par une heure de philo avec Mme Gerfion. Pas facile comme nom. Pourtant, ce n’est pas son nom le pire, c’est sa tête. Ce n’est pas qu’elle soit moche, mais je parie qu’elle se prépare sans même se regarder dans une glace. C’est peut-être un vampire. Cela expliquerait qu’elle soit incapable de se voir dans un miroir. C’est sans doute pour cela que, régulièrement, ses boutons de gilet sont décalés. Ce matin, je pense qu’elle s’est en plus maquillée dans un train qui déraillait. En tout cas, je ne vois qu’une catastrophe pour justifier son apparence, parce que c’est un genre de record. Dans la classe, tout le monde rigole en douce. Je suis à deux doigts de la prévenir qu’elle a un problème, mais je n’ose pas. Les derniers ne sont même pas assis qu’elle commence déjà son cours. Elle nous parle de Descartes et de Spinoza, du libre-arbitre et du déterminisme - autant de notions qui trouvent un écho puissant en chacun de nous à 8 h 37 du matin. Il y a celles qui prennent des tonnes de notes sans comprendre un mot, ceux qui finissent leurs maths pour le cours d’après, ceux qui regardent par la fenêtre alors que le jour se lève, mais la majorité est focalisée sur un tract flashy que l’on nous a distribué à l’entrée au sujet de la fête pour l’anniversaire de l’établissement. Je suis à côté de mon amie Léa. À trois tables devant, Axel dépasse. Léon est proche de la porte, prêt à bondir à couvert si l’immeuble subissait une attaque au lance-roquettes. Marie est juste devant le bureau de la prof, avec Pauline qui a retrouvé le sourire. Au rang devant le mien, Mélissa fixe le tract. Le lycée va fêter ses cinquante ans. Un demi-siècle. Même mes parents n’étaient pas nés. Par contre, je crois que certains profs étaient déjà là à l’ouverture. La purée qu’ils nous servent à la cantine aussi. Le tract annonce une «grande fête» avec un spectacle musical joué par des enseignants et des élèves, des anciens qui viendront parler de ce qu’ils sont devenus et une boum géante. J’en frémis d’avance. Ce que sont devenus les anciens élèves? C’est bien de savoir qu’ils ont survécu, mais franchement… Je ne sais pas à quoi va ressembler ce «grand événement incontournable» mais l’idée de mélanger les profs et les élèves pour une fiesta m’interpelle… Mélissa a dessiné un cœur sur son tract. Elle dessine des cœurs partout. Sur les cahiers de textes des garçons, sur les sacs, sur les tables. Elle en est gonflante. D'habitude, Mme Gerfion ne s’en rend pas compte, mais comme le tract est fluo, c’est plus facilement repérable. J’alerte Mélissa et je me redresse. Mme Gerfion reprend sa tirade: - Quand le temps de l’argument n’est pas celui de l’esprit, c’est l’intérêt qui prévaut, et l’action qui en découle ne peut être que pervertie. C’est essentiel pour comprendre ce courant philosophique. C’est exactement ce que je me dis tous les mardis quand je sors les poubelles. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 17. Pourquoi trouve-t-on Mélissa gonflante? 1) Mélissa prend des tonnes de notes sans comprendre un mot. 2) Mélissa finit ses maths pour le cours d’après. 3) Mélissa regarde par la fenêtre alors que le jour se lève. 4) Mélissa dessine des cœurs partout.
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Задание 36
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 12. Quel trait de Léa attire le plus Camille? 1) Son calme. 2) Sa façon de courir. 3) Ses cheveux longs. 4) Son rire.
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Задание 37
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 13. Comment les lycéens se préparent-ils d’aller au lycée? 1) Ils font bien leurs devoirs. 2) Ils s’habillent soigneusement. 3) Ils prennent leurs vélos. 4) Ils se réunissent pour aller ensemble.
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Задание 38
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 14. Pourquoi Camille dit que l’arrivée au lycée est «une nouvelle représentation chaque jour»? 1) Les lycéens changent de vêtements tous les jours. 2) Les amis de Camille inventent toujours quelque chose. 3) Les élèves et les professeurs organisent un théâtre au lycée. 4) Chaque élève joue un rôle.
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Задание 39
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 15. Pourquoi Camille se considère-t-elle comme spectatrice? 1) Elle n’a pas de rôle. 2) Elle n’aime pas jouer. 3) Elle n’est pas sûre d’elle. 4) Elle ne veut pas devenir actrice.
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Задание 40
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 16. Quelle question Camille ne s’est-elle pas posée? 1) Elle ne sait pas si elle est jolie. 2) Elle n’est pas sûre qu’elle soit douée pour les études. 3) Elle ne sait pas ce qu’elle doit faire. 4) Elle n’a pas d’idée sur la profession qu’elle va choisir.
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Задание 41
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 17. Pourquoi Vanessa est-elle pour Camille une vraie star? 1) Vanessa tourne dans les publicités de shampoings. 2) Vanessa prend part aux défilés de mode. 3) Vanessa est toujours parfaite. 4) Vanessa travaille comme modèle.
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Задание 42
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Au lycée Certains viennent au lycée à pied ou en vélo, en bus ou en scooter. Les plus riches y sont conduits en voiture. Pour Léa et moi, la seule chose qui compte, c’est qu’on y aille ensemble. Depuis l’âge de 8 ans, on fait le trajet vers l’école toutes les deux, Camille et Léa. Plus de la moitié de nos vies à démarrer nos journées côte à côte. Nous n’avons pas tout de suite été amies, mais aussi loin que je m’en souvienne, je l’ai toujours remarquée. Ses longs cheveux châtains, son rire, sa façon surprenante de courir, quelque chose de vivant qui émane d’elle, mais surtout un calme que je n’ai pas. L’arrivée au lycée est toujours un grand moment. Tout le monde a rendez-vous. Ça roule, ça bouge, c’est bruyant, ça vit. Les garçons et les filles ont fait attention à bien s’habiller. Je parie que beaucoup ont même dû passer plus de temps à se mettre en valeur qu’à faire leurs devoirs. J’adore l’idée que partout dans la ville, dans chaque maison, dans chaque appartement, chacun se prépare avant de venir. On ne le fait pas forcément avec les mêmes gestes, peut-être pas avec les mêmes méthodes ou le même résultat, mais on le fait tous dans le même but. Tout est pensé. Les cheveux sont coiffés ou décoiffés avec le même sens du détail, les vêtements ajustés, les écharpes tombent là où il faut et les bonnets sont positionnés au millimètre. Certains sentent le parfum. Souvent trop. Tout le monde met son costume avant d’entrer en scène. Chacun choisit son rôle. Séductrice ou vacancier de passage, gros dur ou rock star, aventurier, premier de la classe ou gravure de mode, qui jouera quoi? Peu importe, ce qui compte, c’est que tout le monde joue. Il y a ceux qui abusent des expressions à la mode, celles qui se sont maquillées dans des couleurs criardes ou romantiques, qui ont décidé de se protéger la gorge sous un gros pull ou d’ouvir leur chemisier jusqu’au nombril malgré le froid de janvier. Une nouvelle représentation chaque jour. Face à ce grand show, j’ai plus souvent l’impression d’être spectatrice qu’actrice. Je n’ai jamais eu confiance en moi. Je me pose tout le temps des questions. Je crois même que ça empire avec les années. Je ne sais pas si je suis jolie. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Je n’ai aucune idée de ce que je vais devenir. Et pire que tout, j’ignore si un jour je vaudrai quelque chose aux yeux de quelqu’un. Si les doutes et les angoisses se vendaient, je serais milliardaire. Les trois premiers boutons de mon chemisier sont ouverts sous un pull à col en V. Je n’aime pas trop me maquiller. Ma tante Margot dit un truc que je trouve malin: «Plus on en met, plus y a des chances que ça s’écroule». Et il est vrai que le soir, quand tout le monde repart du lycée, les tenues ne sont plus aussi soignées. Les chemises sortent des pantalons, les coiffures sont désordonnées. La journée est passée par là. C’est vrai pour tout le monde, sauf pour Vanessa. Elle, c’est une star. Je la connais depuis plusieurs années et je ne l’ai jamais prise en défaut. Du matin au soir, on dirait qu’elle est sur un podium de défilé de mode. Vêtements top, coiffure parfaite, maquillage pro, et toujours le sourire qui va bien, le geste qui fait classe. Pas une mèche de travers, pas un ongle mal verni. Un authentique top model. Même quand elle est assise, on a l’impression qu’elle court dans une publicité pour les shampoings avec ses beaux cheveux blonds qui ondulent. Malheureusement, elle n’est pas aussi douée pour les études que pour se faire belle. Elle a aussi un sacré problème avec les garçons, qui bavent tous devant elle. Mais en tant que fille, n’étant pour elle ni une rivale ni une critique, on s’entend plutôt bien. D’après Gilles Legardinier «Et soudain tout change» 18. Quelles sont les relations entre Vanessa et Camille? 1) Elles s’entendent bien. 2) Elles sont des amies très proches. 3) Elles sont comme des sœurs. 4) Elles sont rivales.
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Задание 43
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 14. Comment était le poulailler? 1) Il était petit et propre. 2) Il était grand, rustique et confortable. 3) Il était modeste et charmant. 4) Il était sympathique et convivial.
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Задание 44
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 16. Comment étaient les poules que le maître de la ferme a attrapées pour l’auteure? 1) C’étaient de grosses poules de ferme. 2) C’étaient deux petites poules cayennes proches de la race sauvage d’origine. 3) C’étaient deux poules rousses et blanches. 4) C’étaient de jeunes poules complétement sauvages.
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Задание 45
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 17. Qu’a-t-on offert à l’auteure avec ses deux poules? 1) On lui a offert un sac de blé pour les poules. 2) La propriétaire de la ferme lui a fait cadeau d’un panier pour les œufs. 3) Le propriétaire a attrapé un coq de la même race que les poules. 4) Les enfants ont vite ramassé des œufs pondus ce jour-là.
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Задание 46
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 15. L’auteure et son amie Michèle, où sont-elles allées pour trouver des poules? 1) Elles sont allées au marché. 2) Elles sont allées dans la maison de Michèle. 3) Elles sont allées dans une petite ferme voisine. 4) Elles sont allées à une exposition agricole.
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Задание 47
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 18. Quelle était la réaction du maître de la ferme quand l’auteure refusait de prendre le coq? 1) Il a dit que les poules seraient malheureuses sans leur compagnon. 2) Il a dit qu’il offrait les poules et le coq à l’auteure. 3) Il a laissé le coq partir dans la grange. 4) Il n’a rien dit mais l’auteure a compris qu’il était vexé par son refus.
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Задание 48
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 12. Comment l’auteure a-t-elle eu l’idée d’avoir les poules dans son jardin? 1) Les enfants ont demandé d’acheter les poules. 2) La famille aimait les œufs au petit déjeuner. 3) Il y avait beaucoup de nourriture pour les poules. 4) Le jardin était trop calme et manquait de vie.
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Задание 49
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Mes premières poules Dans mon grand jardin au cœur de cet environnement champêtre, donc, je me promenais un beau soir, profitant du coucher de soleil, contente du travail accompli et du résultat harmonieux que je voyais autour de moi. C’était un de ces soirs parfaits où tout est beau, apaisant, où l’on a l’impression que la nature entière se tait à l’approche de la nuit. Tout était calme, calme, calme… En ne cessant pas de profiter de cette heure bénie, je pensai: «Ça manque un peu de vie». Il y avait, à l’écart de la maison, sans être toutefois trop loin, un coin abrité qui serait parfait pour construire un petit poulailler. Il serait facile, en s’appuyant sur un mur bas, d’y adjoindre une volière… C’était parti. Un jour, donc, le poulailler fut construit. Nous n’avions pas économisé sur le confort des futures pensionnaires. Pas de cabanon cloué à la va-vite avec trois planches et un bout de grillage. Un vrai petit édifice de 6 ou 7 m² fut monté contre le mur du fond du jardin, rustique mais avec toiture en tuiles, porte à loquet, petite fenêtre, loggia avec perchoirs à l’intérieur. Une litière de paille fut étendue sur le sol cimenté, une réserve de grain faite, ne manquaient plus que les poules. Mon amie Michèle, éleveur de bovins qui habite le village voisin, me dit qu’elle connaissait, non loin de son exploitation, une famille, qui vivait tout à fait «à l’ancienne» dans une petite ferme pleine d’animaux de toutes sortes. Ils accepteraient avec plaisir de me céder quelques poules. Je me munis de ce que je pensais le plus pratique pour ramener mes bêtes à plumes: les paniers des chats, qu’il suffirait de lessiver ensuite. Nous avions projeté de commencer modestement, et prudemment, par deux poules. C’était suffisant pour avoir quelques œufs, sans trop de travail de maintenance en perspective. Après une quinzaine de kilomètres à travers champs, nous parvînmes à une petite ferme au bord de la route. Une ferme modeste, charmante, qu’on aurait pu dessiner dans un livre destiné à familiariser les enfants citadins à «la vie à la campagne». Une enfilade de bâtiments sans étage coulait doucement le long d’une cour, l’espace était intime et convivial. L’ensemble était bon enfant et sympathique. L’accueil le fut aussi. Les poules que le paysan attrapa pour moi n’étaient pas de ces grosses poules de ferme, rousses, blanches ou noires, que nous connaissons tous, mais des poules naines, vives, couleur de perdrix, proches de la race sauvage d’origine, que l’on nomme ici «cayenne». Après une course-poursuite assez rigolote, ces poules étant très rapides et agiles, les deux poules furent mises ensemble dans une de mes caisses, vu leur petite taille. Je m’apprêtais à remercier, à demander combien d’argent je devais en échange de ces petites bêtes, mais l’homme m’avait déjà résolument tourné le dos, se dirigeant de nouveau vers le fond de la grange en disant: «Et maintenant, le coq». Je tentai de stopper sa recherche en protestant: «Non, non! Je n’ai besoin que des poules, c’est juste pour avoir quelques œufs!» L’homme se retourna vers moi d’un bloc, les cheveux en bataille et, ses beaux yeux écarquillés de saine révolte, il s’exclama, dramatique, en m’entendant refuser un coq: «Ah! Bon Dieu, faites pas ça, elles vont être malheureuses!» Une heure plus tard, je repartis, sans que l’on voulût accepter que je paie quoi que ce soit pour mes trois volatiles. L’homme au visage rond et aux yeux bleus me les donnait. Il m’avait donné, avec cette leçon d’humanité envers les animaux, bien plus que cela… Merci, monsieur. D’après Anny Duperey «Le poil et la plume» 13. Où a-t-elle voulu installer les poules? 1) Dans un poulailler au coin préserve du jardin. 2) Dans une immense volière ouverte. 3) Dans un cabanon traditionnel. 4) Dans une grange près de la maison.
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Задание 50
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 17. Pourquoi conseille-t-on de venir avec son propre sac pendant la collecte? Pour des raisons... 1) d’hygiène. 2) de sécurité. 3) techniques. 4) écologiques.
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Задание 51
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 13. Laquelle des étapes d’utilisation de l’application Too Good to Go n’est pas mentionnée dans le texte? 1) Arriver à l’heure indiquée. 2) Payer sa commande en ligne. 3) Effectuer une commande. 4) Trouver l’endroit sur le plan.
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Задание 52
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 14. Pourquoi la collecte a-t-elle lieu généralement en fin de journée? 1) Parce que cela répond aux besoins des étudiants qui rentrent tard. 2) Parce qu’à ce moment de la journée les clients deviennent moins nombreux. 3) Parce que c’est le moment d’accueillir des amateurs de déjeuners tardifs. 4) Parce qu’à ce moment de la journée on sait ce qu’on n’a pas vendu.
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Задание 53
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 12. Grâce à l’application dont il est question dans le texte, on peut… 1) trouver des restaurants pas trop chers à proximité de chez soi. 2) acheter des produits alimentaires à des prix intéressants. 3) évaluer la qualité des plats dans des restaurants universitaires. 4) localiser des établissements proposant des repas gratuits.
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Задание 54
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 16. Selon l’auteur, les clients risquent parfois d’être déçus car… 1) parfois on ne trouve pas de produits dont on a vraiment envie. 2) les commerces qui utilisent cette application sont rares à Paris. 3) les aliments proposés ne sont pas toujours de bonne qualité. 4) la taille de paniers est parfois trop petite même pour une personne.
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Задание 55
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 15. Laquelle de ces affirmations ne correspond pas au contenu du texte? L’utilisation de cette application... 1) rend service aux commerçants. 2) permet de faire des économies. 3) aide à choisir des aliments plus sains. 4) contribue à la protection de la nature.
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Задание 56
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une application pour manger pas cher Manger à petit prix tout en luttant contre le gaspillage alimentaire: c’est ce que propose l’application Too Good to Go («trop bon pour être jeté»). Une initiative susceptible d’intéresser les étudiants soucieux de bien manger pour quelques euros. Née au Danemark, l’application a été développée en France en 2016 par Lucie Basch, ingénieure. Plutôt que d’être bêtement jetés à la poubelle, les invendus du jour sont proposés pour quelques euros. Il suffit de repérer un lieu de collecte sur l’application, de réserver son «panier» et de se rendre aux heures de collecte indiquées. Pour récupérer son panier, on doit simplement présenter son smartphone au commerçant qui valide alors l’achat. La collecte a lieu généralement en fin de journée avant la fermeture des commerces. Idéal pour les étudiants qui rentrent d’une journée de cours. Pour les amateurs de déjeuners tardifs, certains commerces proposent des collectes en début d’après-midi, entre 14h et 15h. Outre les boulangeries, l’application référence des restaurants, des marchands de fruits et légumes, des hôtels, des enseignes de restauration rapide et de grande distribution. En utilisant l’application, on fait un geste pour l’environnement et réalise un acte citoyen: on évite que des aliments encore consommables finissent à la poubelle. Tout le monde y trouve son compte: le consommateur qui mange à petit prix; les commerçants qui gagnent quelques euros sur des produits qu’ils ne pourront plus vendre le lendemain; et la planète qui limite le gaspillage de ses ressources. Un panier, vendu à partir de 2€, suffit à constituer un repas entier. Dans les boulangeries, les paniers contiennent généralement un sandwich, un ou deux pains et des viennoiseries. Certains sont tellement bien fournis qu’ils peuvent être consommés à plusieurs et pour plusieurs repas. Par exemple, les viennoiseries (croissants, brioches...) peuvent servir pour le petit-déjeuner le lendemain et les pains à faire des sandwichs pour le déjeuner. L’application rend plus accessibles des plats dont on se prive souvent, car trop chers. On trouve par exemple des plateaux de sushis ou des bentos entre 4 et 7€, soit deux à trois fois moins chers que le prix normal. Too Good to Go vous permet de goûter différentes cuisines (indien, mexicain, coréen...) et aussi de découvrir de nouveaux lieux. Enfin, elle est disponible dans plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Danemark...), ce qui permet de se restaurer en voyage. Le contenu des paniers n’est jamais le même. Il peut parfois ne pas correspondre à vos préférences alimentaires, voire franchement vous décevoir. Rares sont les commerces qui vous proposent de composer vous-même votre panier. Mais c’est le jeu! Par ailleurs, l’application s’adresse surtout aux citadins. Les points de collecte abondent à Paris mais sont plus rares dans les petites villes et quasiment inexistants dans les villages. Pour jouer le jeu jusqu’au bout et lutter (aussi) contre l’utilisation d’emballages, le mieux est d’apporter son propre sac et ses boîtes alimentaires lors de la collecte. Certains commerces l’exigent et peuvent faire payer les contenants. En outre, les disponibilités sont différentes: selon le jour, il peut arriver que votre commerce préféré ne propose aucun panier ou que les stocks soient déjà épuisés. Mieux vaut alors consulter l’application régulièrement dans la journée, mettre ses lieux préférés dans ses «favoris» et parfois accepter de faire un détour par un commerce plus éloigné. 18. Qu’est-ce que l’auteur du texte propose de faire dans le cas où il ne reste plus de paniers chez votre commerçant? 1) Faire une nouvelle commande. 2) Choisir un autre commerce. 3) Revenir plus tard dans la journée. 4) Ne plus privilégier ce commerce.
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Задание 57
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 14. Comment étaient les parents de Thibaut? 1) Les Marcey étaient énervés dès l’aube. 2) Les parents de Thibaut étaient ravis et joyeux. 3) Ils étaient agacés et fatigués. 4) Paul et Ghislaine étaient souriants et aimables mais gênés.
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Задание 58
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 17. Comment Ghislaine a-t-elle rompu l’atmosphère tendue à table? 1) Elle a souri et elle a plaisanté à propos des surnoms familiaux. 2) Mme Marcey a proposé à tout le monde de partir en croisière le lendemain du mariage. 3) Ghislaine a invité toute la famille de Marie-Line, y compris sa mère et sa tante, dans la maison des Marcey pour un week-end. 4) Elle voulait participer à la chasse et organiser une grande fête dans sa maison.
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Задание 59
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 13. Pourquoi Marie-Line a-t-elle été surprise à la vue des parents de Thibaut? 1) Les parents du jeune homme étaient mal habillés. 2) Les parents de Thibaut étaient déjà vieux. 3) Marie-Line les connaissait déjà, elle les a vus à l’Auberge. 4) La jeune femme n’a jamais vu le chevalier de la Légion d’Honneur.
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Задание 60
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 16. Pourquoi les Marcey se sentaient-ils complètement perdus pendant la conversation? 1) Les parents de Thibaut ne savaient pas comment vaincre l’animosité de Matthieu. 2) Ils ne connaissaient ni les membres de la famille de Marie-Line ni les surnoms de ses proches. 3) Les Marcey ne parlaient pas de la même manière que la famille de Laure. 4) Ils ne savaient pas comment organiser un beau mariage à leur fils.
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Задание 61
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 18. Quelle phrase n’appartient pas au texte? 1) Décidement, mon père ne supporte plus la solitude! 2) Le Dior du hamburger, c’est elle. 3) Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse». 4) Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage.
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Задание 62
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 12. Pourquoi Laure était-elle énervée dès le matin? 1) Les parents de son fiancé devaient venir faire connaissance avec sa famille. 2) Les parents de Laure et de Thibaut devaient fixer la date de leur mariage. 3) Laure avait mal choisi les tenues de ses parents. 4) Les parents de Thibaut étaient en retard.
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Задание 63
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Le déjeuner en famille La date du mariage de ma fille aînée Laure est fixée. Les parents de Thibaut devaient nous rendre visite. M. et Mme de Marcey ont sonné à notre porte samedi à onze heures, comme prévu. Notre fille était très énervée depuis l'aube. Elle avait tenu à choisir elle-même le costume de son père, ma robe de soie imprimée avait reçu son approbation. A sa demande, Olivier, mon fils cadet, nous avait rejoints dès le matin. Ils ont sonné, je suis allée ouvrir et, découvrant en face de moi ce couple aux cheveux blancs qui aurait pu être mes parents, je n’ai pu retenir ma surprise; j'avais oublié que Thibaut était un «petit dernier», un «tardillon», comme nous disons à la maison. Paul de Marcey a mis sa Légion d'honneur, Ghislaine, sa femme, portait un chapeau. Ils étaient souriants et aimables, mais je les sentais, comme nous, assez gênés. Matthieu a déclaré: «Somme toute, nous avons été mis au pied du mur»... Laure s'est empressée de répliquer: «Pas le mur des pleurs, celui de la joie»… Et l'atmosphère s'est détendue. La main de notre fille accordée à Thibaut, nous sommes allés fêter l'événement dans un restaurant du Bois de Boulogne. Et c'est là, dans ce cadre luxueux, alors qu'un maître d'hôtel posait cérémonieusement devant moi une crêpe aux fruits de mer, que je me suis souvenue de ces autres crêpes, dégustées à Caen, le jour où Matthieu m’avait fait sa demande. Ghislaine se penche vers moi; elle a gardé son chapeau. - Il paraît que Madame votre mère offre sa maison pour le mariage, dit-elle. C'est fort généreux de sa part. - Chez nous, c'est une tradition, constate Laure avec enthousiasme. Toutes les filles se marient à l’Auberge. - L'Auberge? interroge Ghislaine. - L’Auberge de l’Ange gardien, dit Olivier. Le nom de la maison en question. - La tante Joyeuse se mettra aux fourneaux, déclare Thibaut qui a eu l'occasion d'apprécier les talents culinaires de ma tante. Le Dior du hamburger, c’est elle… - Joyeuse? interroge à son tour Paul de Marcey. - La sœur de la Patronne, explique Laure. Là, les Marcey sont complètement perdus. - Dans cette famille, on a la manie des surnoms, intervient Matthieu, une pointe d’agacement dans la voix. La Patronne, c'est la mère de ma femme, et Joyeuse, sa tante. Elles vivent ensemble… à l’Auberge. Le serveur emplit ma coupe de champagne. Des poules faisanes ont succédé aux crêpes marines. Matthieu, pourtant grand amateur de gibier, y touche à peine. Son effort pour être aimable avec nos hôtes me torture. Je peux lire dans sa pensée: «Ils sont vieux, convenus, démodés, ennuyeux». - J'ai une idée, déclare tout à coup Ghislaine. Si vous veniez passer un week-end chez nous, à «Montplaisir»? Pensez-vous que Madame votre mère et… euh… Joyeuse, accepteraient de se joindre à nous? - Sans aucun doute, applaudit Laure, ravie. Elles adorent voyager. Elles ont déjà prévu de partir en croisière au lendemain de notre mariage, quelque part du côté de Java… - Je commence à comprendre pourquoi on appelle votre tante «Joyeuse», constate Ghislaine en riant. «Montplaisir» n’est pas Java, mais nous y aurons tout loisir d'organiser les réjouissances sans déranger nos hommes. Tandis que nous parlerons, ils pourront parcourir le domaine. Marie-Line, votre mari chasse-t-il? - Bien sûr qu’il chasse… Mais il faudra qu'on lui prête un fusil. Et il aime l'Anjou, les vins pétillants au goût de violette, n’est-ce pas Matthieu?… Janine Boissard «La Reconquête» 15. Pourquoi Matthieu était peu aimable avec les parents de Thibaut? 1) Matthieu était contre le mariage de sa fille avec Thibaut. 2) Il avait un caractère difficile et éprouvait souvent de l’agacement. 3) Matthieu les trouvait vieux, convenus, démodés, ennuyeux. 4) Il était malade ce jour-là et il ne voulait recevoir personne.
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Задание 64
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 17. Comment Tristan a-t-il réagi quand il avait perdu la partie? 1) Il était joyeux et content. 2) Le petit garçon avait beaucoup d’enthousiasme. 3) Tristan avait un visage calme, mais il était déçu. 4) Il s’est mis en colère et a jeté les cartes par terre.
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Задание 65
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 12. Où Tristan a-t-il passé ses vacances? 1) Il est allé faire du ski dans les montagnes. 2) Le petit garçon a passé ses vacances à l’hôpital. 3) Tristan a passé ses vacances au bord de la mer. 4) Il est resté à la maison avec son père.
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Задание 66
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 18. Quelle phrase de son grand-père Tristan s’est-il rappelée? 1) Tu me casses les pieds! 2) On ne peut pas gagner à tous les coups! 3) L’as est la meilleure carte! 4) Maintenant il faut tout ranger!
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Задание 67
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 14. Que Tristan n’a-t-il pas fait pendant ses vacances? 1) Tristan a joué à cache-cache dans le grenier. 2) Il a appris à monter sur un cheval. 3) Le petit garçon a joué aux cartes, à la bataille. 4) Tristan a construit une cabane.
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Задание 68
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 16. L’expression «Avoir les yeux plus gros que le ventre»? signifie que… 1) la personne ne pourrait pas manger tout ce qu’elle a mis dans son assiette. 2) la personne est tombée malade, elle a mal aux yeux. 3) la personne dont il s’agit a de très beaux yeux. 4) la personne est très maigre, on ne voit que ses yeux.
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Задание 69
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 13. Et l’auteur, qu’est-ce qu’elle a fait pendant ses vacances? 1) Elle a fait du ski alpin dans les montagnes. 2) Elle a travaillé pendant toutes les vacances. 3) Elle est allée se reposer à la mer. 4) Elle est restée chez elle avec sa fille Laure.
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Задание 70
Прочитайте текст и выполните задания 12 – 18. В каждом задании обведите цифру 1, 2, 3 или 4, соответствующую выбранному вами варианту ответа. Une partie de cartes C'est un petit garçon joyeux qui me tire par la main jusqu'à la salle de jeu. Voilà six mois que nous nous voyons une fois par semaine. Il vient à l’hôpital pour suivre un traitement des problèmes psychologiques; jamais encore il n'avait montré un tel dynamisme. Je remarque aussi qu’il a pris du poids. - Tristan, tu es parti pour les vacances, je crois? - Moi, c'était chez mon grand-père, près de la mer. Il a plu presque tout le temps, mais on a bien rigolé quand même. - Et qu'avez-vous fait de si amusant? - On a joué à cache-cache dans le grenier, à se construire une cabane et à la bataille. De mon sac, je sors les jeux de cartes que j'y ai mis ce matin: - Justement, j'ai pensé que tu aimerais peut-être faire une partie. Ton papa m'a dit que tu étais très fort. Plein d’enthousiasme, il grimpe sur la chaise en face de la mienne, s’empare des cartes et les mêle. - C'est moi le plus fort, annonce-t-il fièrement. J’ai même battu papa! - Ah bon, tu as gagné ton papa à la bataille? dis- je. Avec application, Tristan distribue les cartes, puis il pousse vers moi l'un des paquets et nous commençons la partie. Très vite, il tire un as et pousse un cri de joie: - L’as est la meilleure carte, triomphe-t-il en prenant mon valet. D'ailleurs, quand quelqu’un est un champion, on dit: «C'est un as». Il lève le nez et me regarde avec malice: - C'est même une expression, comme la «poule mouillée»! A ce moment-là, c’est moi qui gagne. Tristan, fou de colère, jette les cartes par terre. Je fais semblant de ne rien remarquer, je continue: - Je vois que tu as bonne mémoire. Tu as trouvé une très bonne expression tout seul: «C'est un as». Moi, au ski, pendant les vacances, je n'étais pas un as du tout, je tombais même sans arrêt, et parfois j'avais très peur. Veux-tu que nous nous amusions à trouver d’autres expressions? Je suis certaine que tu en connais. Pas un geste en réponse. Tristan retient sa respiration, mais je sais qu’il m’entend. - Quand ma fille avait ton âge - ma fille s’appelle Laure -, elle adorait les frites. Elle en mettait toujours une montagne dans son assiette, carrément la moitié du plat! Alors, nous l'avertissions: «Attention, Laure, tu as les yeux plus gros que le ventre!…» Nous voulions dire qu'elle ne pourrait jamais tout manger, ou que si elle mangeait tout, elle serait malade. Connaissais-tu cette expression-là? Des yeux plus gros que le ventre, ça doit être bien encombrant, tu ne crois pas? Si ce n'était pas une expression, il faudrait une sacrée paire de lunettes! J'espérais un sourire, il ne vient pas, mais il me regarde. - On dit aussi, quand quelqu'un s’évanouit: «Il est tombé dans les pommes». Pourtant, il y a rarement des pommes là où cette personne est tombée… Et quand quelqu'un vous ennuie, on lui dit: «Tu me mets en boule»… Ou bien: «Tu me casses les pieds». Maintenant il redresse la tête et me rend mon sourire. Puis il se lève, il vient contre moi et noue ses bras autour de mon cou. – Maintenant, il faut ranger, décide-t-il en se dégageant. C’est tes cartes à toi, et il faudra que tu les remportes dans ta maison. - Est-ce qu'un jour tu voudras bien faire une autre partie avec moi? - Je ne sais pas, répond-il avec sagesse. Mais mon papy, il dit qu’on ne peut pas gagner à tous les coups. Accroupis sur le sol, nous ramassons les cartes et jamais je n’ai accompli avec autant de joie un geste aussi banal. Il tient à remettre lui-même les cartes dans leur étui. Son visage est à nouveau calme. Je sens encore la chaleur de sa poitrine contre la mienne et ses lèvres humides sur ma joue. Janine Boissard «La Reconquête» 15. Quelle expression Tristan a-t-il trouvée tout seul? 1) Avoir les yeux plus gros que le ventre. 2) Tomber dans les pommes. 3) C’est une poule mouillée. 4) C’est un as.
